Brèves de comptoir.

Qu’y a-t-il de plus idiot qu’une « brève de comptoir » ? On rit parce que c’est bête et quelques fractions de seconde plus tard, on se rend compte que cette phrase imbécile exprime aussi une évidence. C’est dans cet « effet retard » que réside le plaisir des brèves. (Jean-Marie Gourio )

Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !

Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c’est l’occasion.

Je serais chercheur, moi je saurais pas quoi chercher.

Si y a un premier ministre, y a un dernier.

On utilise pas la totalité de notre cerveau, si on veut, on peut être encore plus cons.

Je n’achète rien quand c’est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.

Quand tu tues ta femme, c’est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.

La télé, c’est tellement con que même les pigeons ne se posent plus sur les antennes.

Un chat retombe toujours sur ses pattes par ce que c’est ce dont il se sert le plus souvent. Un intello c’est la tête qui morfle.

Je suis pas beau mais au moins c’est moi.

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