Infiltration, VMC en rade et assurance : épisode 8 mois plus tard?

Ah, l’assurance habitation…
Ce truc qu’on paye religieusement tous les ans, au cas où……

Chez moi, ça a commencé le 1er octobre 2024.

Ah, l’assurance habitation… Ce truc qu’on paye chaque mois comme un abonnement à une chaîne cryptée qu’on regarde jamais, mais qu’on garde au cas où. Et voilà que le cas où arrive enfin. Chez moi, ça a commencé le 1er octobre 2024, avec une infiltration d’eau sournoise venue tout droit de la façade.

Pourquoi ? Parce que l’ancien bardage de la résidence a été enlevé, et pendant plusieurs mois… rien. Pas de protection, le mur livré à toutes les intempéries. Résultat : ma chambre s’est transformé en pataugeoire!!!

Alors évidemment, j’ai appelé mon assurance habitation. Premier contact :
— « Pas de panique monsieur, on s’occupe de tout ! »
Et là, bonne surprise, ils ont vraiment assuré. Ils ont fait leur boulot, les expertises, le suivi, les relances.

Mais, car il y a un « mais »… c’est l’assurance du chantier, elle, qui traîne la patte. Et c’est là que ça coince depuis 8 mois. Entre devis qui se perdent dans les limbes, rendez-vous reportés, et silence radio, on n’est pas sortis de l’auberge.

Pour ne rien arranger, comme il y a des travaux dans toute la résidence, la VMC est tombée en panne.
Ce qui fait que l’humidité s’est bien installée chez moi.

Donc voilà la vérité du terrain :

  • Mon assurance habitation a bien fait son travail,

  • C’est l’assurance chantier qui rame grave et bloque tout le processus.

dégats des eaux

Mais ça y est, bonne nouvelle du jour : la société responsable passe cet après-midi pour enfin faire le nécessaire. 8 mois après le début du cauchemar, on dirait qu’ils ont enfin retrouvé mon dossier coincé sous une pile de paperasse.

Alors oui, on paye une assurance pour être protégé. Mais quand ça part en vrille, on découvre vite que c’est pas toujours l’assurance qu’on imagine. Parfois, c’est une course d’obstacles avec les intervenants du chantier. Et au final, c’est nous qui faisons tout le boulot derrière : mails, coups de fil, relances, rappels…

Petit coup de gueule en forme de témoignage : une assurance, c’est un contrat, avec des engagements des deux côtés. Et quand il faut agir, faudrait peut-être arrêter la valse-hésitation et passer à l’action.

Sur ce… je retourne nettoyer,avec l’espoir que ce soit la dernière fois.

Le challenge Radiblog : 15 énigmes pour booster ton esprit

Aujourd’hui, on s’offre un petit voyage dans le monde tordu des énigmes qui te retournent le cerveau, te chatouillent la logique, et te font sourire.
Si vous bloquez sur une question,  sélectionnez l’espace entre les [ ].

Prêt·e à relever le défi ? C’est parti !

enigmes

1- Le marchand de sable… ou plutôt de prénom

Énigme :
Je suis à toi, mais les autres m’utilisent plus que toi. Qui suis-je ?

Réponse :
[Ton prénom. Eh oui, personne d’autre ne peut te le piquer, mais c’est le premier truc que les autres sortent quand ils parlent de toi.]


2- La pièce sombre et l’allumette magique

Énigme :
Un aveugle entre dans une pièce noire avec une bougie, une lampe à pétrole et une cheminée. Il n’a qu’une seule allumette. Que doit-il allumer en premier ?

Réponse :
[L’allumette, évidemment ! Sinon, comment allumer le reste ?]


3- Papa et les deux moussaillons

Énigme :
Un père et ses deux fils doivent traverser une rivière avec un canoë qui ne peut porter qu’une personne à la fois. Comment faire ?

Réponse :
[Le père traverse avec un fils, revient seul, puis traverse avec l’autre fils. Pas plus compliqué !]


4- Pas à pas…

Énigme :
Plus tu en prends, plus tu en laisses derrière toi. Qu’est-ce que c’est ?

Réponse :
[Tes pas, mon ami ! Une vraie trace de ta balade.]


5- L’heure arrêtée

Énigme :
Je n’ai qu’une aiguille, mais je donne l’heure exacte deux fois par jour. Qui suis-je ?

Réponse :
[Une montre arrêtée. La vie, hein !]


6- La chute des balles

Énigme :
Deux balles, un immeuble de 100 étages, et un mystère : à quel étage la balle casse-t-elle ? Comment trouver ça avec un minimum de lancers ?

Réponse :
[On commence par lâcher la première balle du 10e étage. Si elle casse, on teste les étages en dessous un par un avec la deuxième balle. Sinon, on monte par paliers de 10 jusqu’à la casse.]


7- Gâteau en danger

Énigme :
Un voleur mange la moitié d’un gâteau, puis la moitié de ce qui reste. Combien reste-t-il ?

Réponse :
[Un quart du gâteau. Pas mal, le voleur gourmand.]


8- Pommes dans le sac

Énigme :
Tu prends 3 pommes dans un sac qui en contient 5. Combien as-tu ?

Réponse :
[3 pommes. Logique, non ?]


9- Frères pas jumeaux

Énigme :
Deux frères sont nés le même jour, même année, même mère, mais ne sont pas jumeaux. Comment ça se fait ?

Réponse :
[Ils sont triplés… ou plus !]


10-Le pont et la lampe

Énigme :
Quatre personnes traversent un pont la nuit avec une lampe. Le pont ne supporte que deux à la fois. Temps max : 17 minutes. Ils marchent à 1, 2, 5 et 10 minutes. Comment faire ?

Réponse :
[Le plus rapide aide le plus lent, revient, et ainsi de suite pour optimiser le temps. Astuce : planifie les passages.]


11- Crayon magique

Énigme :
Tu l’utilises pour écrire, mais il s’use en disparaissant. Qui est-ce ?

Réponse :
[Un crayon, tout simplement.]


12- Bouteille et bouchon

Énigme :
Une bouteille et son bouchon coûtent 1,10 €. La bouteille coûte 1 € de plus que le bouchon. Combien coûte le bouchon ?

Réponse :
[5 centimes, le bouchon. Petit calcul rapide.]


13- Le mot mystère

Énigme :
Je commence la nuit, termine le matin, contiens un A, et je suis vide sans lui. Qui suis-je ?

Réponse :
[Le mot « nuit ». Petite pirouette linguistique.]


14- Moutons en forme

Énigme :
Un fermier a 17 moutons. Tous sauf 9 meurent. Combien lui en reste-t-il ?

Réponse :
[9 moutons, bien vivants.]


15- Le transporteur futé

Énigme :
Un homme doit traverser une rivière avec un loup, une chèvre et un chou. Il ne peut transporter qu’un à la fois. Le loup mange la chèvre, la chèvre mange le chou. Comment faire ?

Réponse :
[Il traverse avec la chèvre, revient, traverse avec le loup, ramène la chèvre, traverse avec le chou, revient, et traverse avec la chèvre. Bingo !]

 

 

Félicitations d’avoir relevé ces quinze énigmes qui sollicitent la réflexion et la logique. Que tu aies trouvé toutes les réponses ou simplement apprécié le défi, l’important est d’avoir stimulé ton esprit.

Merci de votre lecture et à bientôt pour de nouvelles découvertes et réflexions.

Quand le bazardier criait dans la cour et portait son bazar sur la tête

À une époque pas si lointaine où on pesait les légumes à la main et où le supermarché, c’était la cour la case, nous à La Réunion, on avait les bazardiers lontan.

Ces personnages hauts en couleur faisaient leur tournée à pieds, sous le soleil et la poussière des chemins, panier sur la tête.
Ils passaient quelques jours avant pour prendre les commandes, en criant :

« Cochon, lapin ! Chouchou, bringelle, piments ! Mi prend commande ! »

Le bazardier de cochon

Chez nous, le plus attendu, c’était le bazardier de cochon.
Pas question de traîner le cochon avec lui, hein !
Il passait à pieds, panier vide ou cabas sous le bras, et venait juste prendre les commandes.
Ma mère sortait en courant dès qu’elle l’entendait :

« Deux kilos dans les côtes, ou bien 2 pattes arrières ! »

Il hochait la tête, notait ça dans sa mémoire, et continuait sa tournée dans les autres cours.

Quelques jours plus tard, quand tout le cochon était vendu sur pattes comme on disait, il était tué et il revenait cette fois avec les morceaux commandés,

Le bazardier de légumes

Même chose pour le bazardier de légumes.
Il passait à pieds, panier sur la tête, rempli de chouchous, bringelles, patates douces, brèdes, et il criait :

« Kwé zot i veut ! »

Ma mère sortait :

« 4 chouchou, un kilo bringelle, 200 grammes piments et 3 margozes ! »

Une vie authentique et bons produits

Pas de promo dans le journal, pas de carte de fidélité. Juste des hommes et des femmes de terrain, à pieds, panier sur la tête et sourire aux lèvres.
Ils connaissaient le prénom de chaque gramoune, les goûts de chaque famille.

Aujourd’hui, on clique sur des applis et on se fait livrer des légumes en boîte en carton recyclé… mais rien n’égale le parfum du carry chouchou fraîchement cueilli et livré par le bazardier lontan.

Et vous ? C’était comment dans zot’ cour ? Votre bazardier y passait à pieds avec son panier ? Raconte un coup, pour qu’on garde ça vivant dans le cœur et dans notre mémoire !