Bouchons attachés aux bouteilles : pas une si bonne idée que ça!!!

“La citation du jour : L’amour rend aveugle. Le mariage rend la vue.”

Depuis quelque temps, vous l’aurez sûrement remarqué : les bouteilles en plastique ont des bouchons qui restent attachés.
Impossible de les détacher complètement sans forcer. Cette nouveauté, imposée par une directive européenne (encore elle!!!!), vise à réduire la pollution plastique en empêchant les bouchons de se retrouver dans la nature séparément des bouteilles.
Une bonne intention écologique, certes, peut-être, mais une innovation qui ne fait pas l’unanimité surtout pour moi qui ramassait les bouchons pour l’association Handi-Cap Prévention.

Une bonne idée sur le papier

L’objectif affiché est louable : faciliter le recyclage et éviter que les bouchons ne finissent dans l’environnement.
En théorie, cela semble être une avancée positive pour la planète.
Mais en pratique, ces bouchons attachés posent de nombreux petits problèmes d’usage au quotidien!!!!!

Des bouchons… de merde ?

Soyons honnêtes : ces nouveaux bouchons sont loin d’être pratique..
Ils ont tendance à me gêner lorsque je bois à la bouteille, à mal se repositionner après ouverture, et à compliquer le versement dans un verre.
Certains modèles se plient mal, d’autres se coincent, et cela m’agace!!!!
De nombreuses personnes râlent sur les réseaux sociaux, et il suffit d’une recherche rapide pour voir que ce sujet divise, même si je l’avoue qu’il y a des thématiques beaucoup plus grave dans le monde que ces petits bouchons 🙂

Une adaptation nécessaire ou une fausse bonne idée ?

Comme souvent avec les nouvelles réglementations, il faudra du temps pour s’y habituer.
Peut-être que les fabricants amélioreront le design de ces bouchons pour les rendre plus ergonomiques?
En attendant, chacun essaie de s’adapter comme il peut, entre ceux qui forcent comme moi pour détacher totalement le bouchon et ceux qui pestent comme moi aussi à chaque gorgée.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Ces bouchons attachés sont-ils un progrès écologique ou une gêne au quotidien?