Bon Fèt Kaf 2024
Lo 20 désanm i mont soley,
In zour bann zansèt la larg zot rèv.
Dan bann bwa lontan, dan lèr nwar,
Zot la batay pou larg lo liswar.
Tanbour i son lo kèr bann dimoun,
Maloya bèl, i vibre ziska lontan.
Zot in galèr, zot in soufer,
Mé zordi nou santi zot fèr.
In lèrsi pou tèr, pou lavi,
Pou nout liberté, pou nout mémwar osi.
Bann razèr dann zié, bann lèr dann kèr,
Bann krazé i lèv ek lo lèr.
Fèt Kaf, sé pa just lo pasé,
Sé osi in promès nou largé.
Pou tou dimoun i viv ansanm,
Dan lamour, dan réspé, dan nout kanton.
Alor, lévé roulèr, kayamb i dans,
Maloya i mont pou bann bannzil en transe.
20 désanm, in zour bann zansèt inn donn,
In zour kot liberté lé d’or ek coton.
Pour la traduction en français, voir en page 2.
Ma chanteuse du dimanche : Emma Peters
Chanteuse et auteure-compositrice française née en 1996 à Lille.
Passionnée par la musique dès son plus jeune âge, elle se fait d’abord connaître grâce à des reprises acoustiques qu’elle publie sur YouTube, et c’est comme cela que je l’ai entendu pour la première fois.
En 2021, elle sort son premier album, “Dimanche”, un projet introspectif qui aborde des thèmes universels comme l’amour, les doutes et les petits moments du quotidien.
Ses textes, souvent teintés de mélancolie. et grâce à son approche minimaliste et émotionnelle, j’ai été séduit.
Scribens, le correcteur d’orthographe
Scribens est un outil en ligne de correction orthographique et grammaticale.
C’est une plateforme gratuite qui aide à détecter les fautes d’orthographe, de grammaire, et de style dans les textes.
Elle est particulièrement utile pour rédiger des textes en français ou en anglais avec un meilleur niveau de qualité.
Fonctionnalités principales de Scribens :
- Correction d’orthographe et de grammaire : Identification des erreurs et suggestions d’améliorations.
- Amélioration du style : Propositions pour éviter les répétitions ou les tournures maladroites.
- Extension et intégrations : Compatible avec Word, Google Docs, et les navigateurs (Chrome, Firefox).
- Analyse de syntaxe: Aide à mieux comprendre les règles de grammaire.
Scribens peut être un allié pour garantir un texte sans fautes pour votre blog.
Apprendre à dessiner
Le dessin est souvent perçu comme un talent réservé à quelques élus.
Pourtant, avec des outils simples et une méthode adaptée, chacun peut libérer sa créativité et progresser rapidement.
Que vous soyez débutant ou que vous cherchiez une approche plus détendue, voici une méthode accessible à tous pour dessiner facilement.
Ce n’est pas moi qui le dis mais leglaude231.
Je ne vous cache pas que personnellement, un gosse de 5 ans dessine mieux que moi.
Avec cette méthode simple, dessiner devient un plaisir et avec @leglaude231, cela parait tellement facile!!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors, prenez un crayon, un bout de papier, et lancez-vous dès aujourd’hui !
Vous serez étonné de ce que vous êtes capable de créer avec un peu de pratique et beaucoup de plaisir.
Et vous, quelles sont vos astuces pour dessiner ?
@leglaude231 Apprend à dessiner : leçon N 1 #dessiner#apprendre #tutorial ♬ son original – leglaude
@leglaude231 Dessine facilement: methode des CONTOURS #dessin#facile#contour #tutorial ♬ son original – leglaude
@leglaude231 Apprendre a dessiner : leçon N 2#dessiner#apprendre#contour#tutorial ♬ son original – leglaude
Ma reprise du dimanche : « Les yeux de la Mama » par Julien Doré
« Les yeux de la mama » est une chanson interprétée par Kendji Girac.
Elle rend un hommage émouvant à l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant.
Cette reprise par Julien Doré est magnifique!!!

Les paroles de la chanson sont dans le premier commentaire.
Pour l’abolition des jours de carence en cas de maladie
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ToggleLes trois jours de carence : une injustice pour les travailleurs ?
Dans le paysage des droits des salariés, la question des jours de carence reste un sujet brûlant et clivant. Actuellement, en France, lorsqu’un salarié tombe malade, il doit supporter un délai de trois jours non indemnisés avant de percevoir les allocations journalières de la Sécurité sociale.
Ces trois jours de carence, bien qu’appliqués au nom d’une logique budgétaire, posent de nombreuses questions d’équité et d’efficacité.
Une pénalité injuste pour les malades
Les jours de carence sont souvent perçus comme une double peine. Non seulement le salarié doit affronter une période de maladie, souvent accompagnée de frais médicaux, mais il doit aussi faire face à une perte de revenus.
Cette mesure frappe particulièrement les foyers modestes, pour qui chaque euro compte, et les précaires, souvent privés des garanties complémentaires offertes par certaines entreprises.
Les salariés qui ne peuvent pas se permettre cette perte sont parfois contraints de travailler malades, risquant non seulement leur santé, mais aussi celle de leurs collègues. Cette situation est particulièrement problématique dans les secteurs où le télétravail est impossible, comme la restauration, la santé ou le commerce.
Un impact limité sur la réduction de l’absentéisme
Les partisans des jours de carence soutiennent qu’ils sont nécessaires pour limiter les abus et responsabiliser les salariés.
Cependant, les études montrent que l’impact de cette mesure sur l’absentéisme est faible.
En réalité, la grande majorité des arrêts de travail sont prescrits pour des raisons médicales valables. Imposer un délai de carence ne décourage pas les fraudes, mais sanctionne surtout les salariés honnêtes.
Des alternatives possibles
De nombreux pays européens ont choisi d’autres approches pour gérer les arrêts maladie.
En Allemagne, par exemple, il n’y a pas de jours de carence : les employeurs prennent en charge les premiers jours de maladie.
Cette politique favorise un climat de confiance entre employeurs et salariés, tout en assurant une meilleure protection pour les travailleurs.
Un appel à la solidarité
Le système des jours de carence repose sur une vision punitive, qui semble incompatible avec les valeurs de solidarité et de justice sociale.
Plutôt que de pénaliser les malades, il serait temps de repenser notre modèle pour le rendre plus équitable et inclusif. La santé n’est pas un luxe, c’est un droit fondamental.

Les jours de carence appliqués aux arrêts maladie représentent une injustice sociale qui pénalise tous les travailleurs, qu’ils soient issus du secteur privé ou de la fonction publique.
Ces jours non indemnisés, censés limiter les abus, frappent avant tout les salariés précaires, les familles à faibles revenus et les professions exposées. Pire encore, ils incitent de nombreux malades à travailler malgré tout, au détriment de leur santé et de celle de leurs collègues, entraînant des risques de propagation des maladies.
En France, la situation est encore plus inégale :
- Dans le secteur privé, trois jours de carence s’appliquent systématiquement, sauf exception négociée par les entreprises.
- Dans la fonction publique, un jour de carence est instauré dans certains cas, mais pas pour les maladies professionnelles ou les accidents de service.
Cette différence de traitement crée une fracture injustifiée entre les travailleurs et entretient un sentiment d’inégalité. De plus, des études montrent que la mesure n’a qu’un impact limité sur la réduction de l’absentéisme.
Nous, citoyens, appelons le gouvernement et les législateurs à :
- Supprimer les jours de carence pour tous les travailleurs, qu’ils soient du secteur privé ou public.
- Mettre en place des contrôles efficaces pour limiter les abus sans pénaliser les salariés réellement malades.
- Protéger la santé des travailleurs en favorisant un modèle basé sur la solidarité et l’équité, comme dans d’autres pays européens.
La santé n’est pas un privilège, c’est un droit !
Rejoignez notre mouvement pour demander une réforme juste et solidaire. Ensemble, mettons fin à une mesure qui pénalise les malades et fragilise les travailleurs.
Signez cette pétition pour faire entendre votre voix et exiger la suppression des jours de carence: https://chng.it/D9WsL5YhPC

Anniversaire
Face à l’absence, la présence de l’autre perdure d’une manière différente mais tout aussi significative.
L’idée que l’autre continue à vivre à travers nos actions, nos sourires et nos souvenirs, nous donne la force de continuer à avancer.
La promesse de retrouvailles, un jour, dans un autre lieu et dans un autre temps, illumine l’espoir qui traverse la douleur de l’absence.La personne aimée continue de vivre à travers nos pensées, nos actes et nos émotions.
Malgré la douleur, l’espoir de se retrouver un jour nous aide à avancer.

Aujourd’hui tu aurais eu 63 ans.
Souvent j’ai ce genre de discussion avec toi … toi mon frère
Moi : Salut… ça fait longtemps.
Tu me manques tellement.
Toi: Je sais. Je suis toujours là, tu sais.
Pas comme avant, mais d’une autre façon.
Moi : Ce n’est pas pareil.
Il y a tant de choses que j’aimerais te dire… des moments que j’aurais voulu partager avec toi.
Toi: Parle-moi. Je t’écoute.
Qu’est-ce que tu as sur le cœur ?
Moi : J’ai peur parfois… peur d’oublier ta voix, ton rire, de t’oublier..
Toi: Tu n’oublieras jamais.
Je suis gravé dans ton cœur, dans tes souvenirs.
Je suis fier de toi.
Moi : C’est dur sans toi.
Toi : Je sais, mais tu n’es pas seul.
Je suis dans chaque sourire que tu partages, chaque décision courageuse que tu prends.
La vie continue, et c’est comme ça que tu me garderas vivant.
Moi: Merci… J’espère que tu es bien là où tu es.
Toi : Je le suis. Et toi aussi tu le seras.
Prends soin de toi, vis pleinement, et on se retrouvera… un jour. Sûrement
Le saviez-vous N°20
- L’ADN humain est composé à 99,9 % de la même séquence génétique que celle de tous les autres humains, mais cette infime différence de 0,1 % est responsable de toute notre diversité.
- Le Sahara, considéré comme le plus grand désert chaud du monde, était autrefois une région verdoyante avec des lacs et des rivières, il y a environ 10 000 ans.
- Les papillons goûtent avec leurs pattes, où se trouvent des récepteurs gustatifs qui leur permettent de détecter le sucre dans les fleurs sur lesquelles ils se posent.
- Le cœur d’une baleine bleue pèse autant qu’une petite voiture et bat si fort qu’on peut l’entendre à plus de 3 kilomètres sous l’eau.
- Les astronautes ne peuvent pas pleurer dans l’espace comme sur Terre, car en apesanteur, les larmes forment des bulles qui restent collées aux yeux.
- Les langues les plus parlées dans le monde sont le mandarin, l’espagnol et l’anglais, mais la langue la plus ancienne encore en usage est le tamoul, datant d’au moins 2 500 ans.
- Les requins sont apparus sur Terre il y a plus de 400 millions d’années, bien avant les dinosaures, et certaines espèces comme le requin du Groenland peuvent vivre plus de 400 ans !
- Les étoiles de mer n’ont pas de cerveau, mais elles possèdent un réseau nerveux qui leur permet de coordonner leurs mouvements et de se régénérer en cas de perte d’un bras.
- Le mot le plus long en français est « anticonstitutionnellement », mais en médecine, des termes comme pneumonoultramicroscopicsilicovolcanoconiose battent tous les records !
- Le plus vieux message retrouvé dans une bouteille à la mer a été lancé en 1886 et retrouvé en 2018, soit 132 ans plus tard !
Plongée dans l’inconnu : cinq semaines de coma, entre rêves et cauchemars
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ToggleL’annonce : entre choc et incompréhension
Le 22 octobre 2020, ma vie a basculé.
Ce mois-là, le COVID-19 m’a frappé de plein fouet.
Un bouleversement total, qui m’a entraîné dans un coma artificiel dont je suis revenu avec des souvenirs flous, des émotions mêlées et une nouvelle perception du temps, de la vie et de moi-même.
Tout avait commencé par des symptômes presque anodins.
Du 17 au 22 octobre 2020, j’étais dans un état de fatigue extrême. Une fièvre légère, une toux persistante, un essoufflement croissant… Puis tout s’est accéléré.
Le 22 octobre au soir, les médecins ont pris la décision de me plonger dans un coma artificiel pour protéger mon corps, affaibli par le virus, et lui donner une chance de combattre.
Qu’ai-je vécu durant ces jours d’inconscience ?
Si, pour mon entourage, j’étais plongé dans un profond sommeil, pour moi, c’était une tout autre expérience, à la frontière entre rêves et cauchemars.
Pour ma famille, ces cinq semaines furent sans doute interminables, chaque journée marquée par l’attente, l’espoir, et parfois la peur d’un appel de l’hôpital.
Mais pour moi, c’était comme cligner des yeux : un instant… puis le réveil.
Rêves et cauchemars
Je me souviens de rêves… ou plutôt de sensations.
Des images éphémères, parfois rassurantes, comme si mon esprit cherchait à m’offrir un refuge face à l’épreuve que traversait mon corps.
Je me voyais marcher sur une plage infinie, sans fin ni horizon. Je ressentais la chaleur du soleil, la douceur du sable sous mes pieds.
D’autres fois, c’était différent.
Des paysages étranges, des lieux inconnus, où le temps semblait ne pas exister. Ces rêves étaient calmes, presque réconfortants, mais laissaient un goût d’irréel.
J’ai vécu des rêves d’une intensité que je n’avais jamais connue auparavant.
Mais tous n’étaient pas paisibles.
Certains étaient oppressants, comme si quelque chose me retenait. Ces cauchemars n’étaient pas toujours visuels : parfois, c’était une sensation de lutte pour respirer. Une angoisse sourde, comme si mon esprit ressentait ce que mon corps vivait réellement : la bataille contre le virus.
Un rêve étrange et récurrent m’a marqué : les taupes.
Ces petits animaux souterrains, que je n’avais jamais vraiment remarqués dans ma vie éveillée, ont creusé leur chemin dans mon esprit endormi, laissant derrière eux des questions et une fascination qui ne m’ont jamais quitté.
Aujourd’hui encore, certains rêves continuent de m’apaiser, comme des souvenirs d’un voyage hors du temps.
Les cauchemars, eux, me rappellent la fragilité de l’existence et la force qu’il m’a fallu puiser pour revenir.
Des visions troublantes
Parmi ces images, une en particulier m’a marqué : des animaux traversant des murs.
Des taupes, des oiseaux, des renards et d’autres créatures plus difficiles à identifier passaient d’une pièce à l’autre, glissant à travers les parois comme des ombres, libres de tout obstacle physique.
J’étais à la fois observateur et acteur de cette scène, fasciné par cette liberté irréelle.
Pendant cinq semaines, alors que mon corps luttait, mon esprit voyageait.
Pas des voyages ordinaires, mais des traversées étranges, irréelles, où les frontières entre rêve et réalité disparaissaient. Certains souvenirs me semblaient si réels qu’il m’a fallu du temps pour accepter qu’ils n’étaient que des constructions de mon esprit.
Un rêve d’espoir
Un rêve particulier reste gravé en moi : celui d’une voûte céleste et fleurie.
Un lieu à la fois irréel et apaisant, où la beauté du ciel étoilé se mêlait à celle d’un jardin.
Je me souviens d’être assis dans un fauteuil, levant les yeux vers une voûte céleste immense, infinie, parsemée d’étoiles scintillantes.
Mais ce n’était pas un ciel ordinaire. Entre les étoiles, des fleurs par centaines, par milliers, comme si le ciel s’était transformé en jardin.
Chaque fois que je clignais des yeux, la voûte changeait de couleur : bleu étoilé, violet, doré, vert éclatant. Les teintes devenaient de plus en plus intenses.
Un silence vivant régnait, juste troublé par un lointain son de tam-tam.
Ni angoisse, ni peur. Juste une paix profonde.
Parfois, je sentais une présence approcher, comme une main tendue que je ne voyais pas. Pas une injonction, mais une invitation.
Lorsque je suis revenu à la réalité, ce rêve est resté avec moi. Il m’a accompagné dans ma convalescence, me rappelant que la vie, malgré ses épreuves, peut être magnifique.
ok
Le retour à la réalité
Petit à petit, la réalité a repris ses droits.
Le souvenir de mes rêves s’est estompé, mais la sensation persistante demeurait : celle d’avoir vécu quelque chose de profondément transformateur.
Je me souviens de mes premiers instants de pleine conscience, où tout semblait suspendu.
J’avais l’impression de renaître, de retrouver un corps qui m’appartenait, mais dans lequel je n’étais plus tout à fait moi. Le temps, les visages, les gestes semblaient déformés, comme si le monde m’était devenu étranger.
Physiquement affaibli, j’ai dû réapprendre à marcher, respirer, et même à retrouver la force de me projeter dans l’avenir.
Tout a commencé par des bribes : un souffle, un bruit de machines, des voix lointaines… Puis les sensations se sont précisées. Le visage flou de mon fils, celui de ma fille.
Un autre défi m’attendait : réapprendre à bouger, à parler, à vivre.
La transition entre le monde des rêves et la réalité s’est faite lentement, presque imperceptiblement, comme si j’étais encore suspendu entre deux univers.
Et, quelque part, je n’étais pas pressé de quitter l’obscurité.
Rééducation
Quatre mois de rééducation ont suivi : un processus long et difficile, mais nécessaire pour reconstruire ce que la maladie avait brisé.
Chaque mouvement, chaque geste semblait une montagne à gravir. Mes muscles étaient faibles, et chaque effort demandait une énergie que je n’avais plus.
Chaque jour, les progrès étaient minimes, parfois invisibles pour les autres, mais essentiels pour moi. Chaque pas était une victoire, et il fallait célébrer ces petites victoires.
Heureusement, les souvenirs du coma étaient encore là, comme une source de réconfort. Le calme et la tranquillité que j’avais ressentis servaient de phare dans la nuit de la rééducation.
Une page tournée, mais jamais oubliée
Cette expérience m’a changé.
Elle a laissé une empreinte indélébile sur ma vie et sur ma façon de voir le monde.
Désormais, chaque jour est une opportunité, chaque instant une occasion d’être pleinement présent.
Il m’a fallu quatre ans pour écrire ces lignes.
Quatre ans pour livrer ce témoignage.
À ceux qui traversent cette épreuve, ou qui ont un proche plongé dans cet état, je veux dire ceci :
l’espoir est une lumière. Même dans l’obscurité, il existe. Et parfois, revenir à la vie, c’est renaître avec une nouvelle vision du monde.
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Les cinq plus beaux feux d’artifice 2025
Le passage à l’année 2025 a été célébré à travers le monde avec des feux d’artifice spectaculaires et originaux. Voici ma sélection des cinq des plus remarquables :
1- Sydney, Australie : Feu d’artifice sur le Harbour Bridge
2 – Dubaï, Émirats arabes unis : Spectacle pyrotechnique au Burj Khalifa
3 – Paris, France : Spectacle à l’Arc de Triomphe
4 – Rio de Janeiro, Brésil : Feu d’artifice sur la plage de Copacabana
5 – Londres, Royaume-Uni : Feu d’artifice sur la Tamise
Et Vous? Quel est votre classement?
Les plus belles cascades de la Réunion
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ToggleLa Réunion compte plus de 100 cascades répertoriées, dispersées à travers toute l’île.
Cependant, leur nombre exact peut varier en fonction des précipitations, du relief et de l’accès.
Certaines cascades sont permanentes, tandis que d’autres apparaissent temporairement après de fortes pluies ou cyclones.
Les plus célèbres, comme celles mentionnées ci-dessous sont accessibles et bien connues des locaux et des visiteurs, mais de nombreuses autres, parfois situées dans des endroits reculés ou inaccessibles, restent moins connues, contribuant au caractère sauvage et préservé de l’île.
Les cascades de La Réunion sont parmi les joyaux naturels les plus emblématiques de l’île. Grâce à son relief volcanique et à son climat tropical, La Réunion regorge de chutes d’eau spectaculaires, nichées dans des écrins de verdure. Voici quelques-unes des cascades les plus célèbres :
1. Cascade de Grand Galet
Située dans le sud de l’île, cette cascade est l’une des plus photographiées.
Elle se trouve dans la vallée de Langevin et offre un spectacle impressionnant avec ses multiples filets d’eau se déversant dans un bassin bleu-vert.
C’est un lieu prisé pour la baignade et les pique-niques.
2. Les Trois Bassins
Ce site, dans l’ouest de l’île, abrite plusieurs bassins alimentés par des cascades.
Les bassins Malheur et Cormoran sont particulièrement connus pour leurs eaux limpides, idéales pour une baignade rafraîchissante.
3. Le Voile de la Mariée
Située dans le cirque de Salazie, cette cascade tire son nom de son apparence : de multiples filets d’eau fins descendent le long de la montagne, évoquant un voile de mariée.
Elle est particulièrement belle après les pluies.
4. Trou de Fer
Cette cascade impressionnante, située dans le massif de Bélouve, est l’une des plus hautes de l’île.
L’accès est difficile, mais le survol en hélicoptère offre une vue inoubliable sur cette chute qui dévale plus de 700 mètres de falaises abruptes.
5. Cascade Blanche
Toujours dans le cirque de Salazie, cette cascade est réputée pour sa hauteur spectaculaire, dépassant les 600 mètres.
Elle est alimentée par les pluies fréquentes de la région, ce qui en fait une attraction incontournable.
6. Cascade Niagara
À Sainte-Suzanne, sur la côte est, cette cascade est facilement accessible et se jette dans un bassin où il est possible de nager.
Elle est entourée de champs de canne à sucre, ce qui lui confère un charme particulier.
7. Bassin des Aigrettes et Bassin Cormoran
Ces cascades, accessibles depuis Saint-Gilles, sont parfaites pour les amateurs de randonnées et de baignades.
Le sentier qui mène à ces sites traverse une forêt tropicale luxuriante.
8. Cascade des Délices
Près de Saint-André, cette cascade est idéale pour une excursion en famille.
Le site est paisible et facile d’accès, avec des bassins propices à la baignade.
Conseils pour visiter :
- Saisonnalité : Les cascades sont plus impressionnantes pendant la saison des pluies (de décembre à mars), mais certaines peuvent être dangereuses après de fortes précipitations.
- Randonnées : De nombreuses cascades nécessitent une marche d’approche ; portez des chaussures adaptées.
- Préservation : Respectez les lieux naturels en emportant vos déchets et en suivant les sentiers balisés.
Sports extrêmes
En quête de sensations fortes.
Ils repoussent les limites de l’humain et du possible, alliant performance physique, courage et parfois prise de risques impressionnantes et dangereuses.
Des sauts en parachute aux descentes en VTT sur des terrains accidentés, en passant par le surf sur des vagues géantes, les sports extrêmes incarnent un mélange unique d’habileté, de concentration et d’audace, faisant vivre à ceux qui les pratiquent des expériences inoubliables.








