La Réunion, encore et toujours.
Encore un survol de mon île .
Dans la vidéo vous pourrez voir :
– des champs de canne à sucre, puis le Cirque de Salazie.
– les cascades de l’Est de l’île.
– le “Trou de fer”.
– le Piton des Neiges et le Cirque de Mafate.
– les “Trois Salazes” et le Cirque de Cilaos.
– le Piton des Neiges.
– les côtes volcaniques du Sud Est.
– le cratère Dolomieu du Piton de La Fournaise.

@Vue du ciel – CREDIT IRT – Photo de Serge gelabert.
Mon île est belle, n’est ce pas?
Mes chansons du dimanche : les chansons de Renaud.
Comme j’ai beaucoup roulé cette semaine, j’avais préparé pas mal de chansons de Renaud pour les écouter dans mon bolide 🙂
Il y a des reprises de Renaud que j’adore, alors en ce dimanche, je les partage avec vous.
Une date à retenir, le 11 mai prochain, France 3 diffusera un documentaire inédit sur le chanteur Renaud réalisé par le journaliste français Didier Varrod. pour en savoir plus, cliquez ici
La musique adoucit les mœurs.
Bon dimanche 🙂
Artisans de la Réunion : fabrication d’un kayamb.
Plusieurs instruments sont utilisés pour accompagner le maloya.
La plupart sont des instruments traditionnels.
Les principaux instruments sont :
- Le bobre, qui est d’origine malgache.
- Le roulèr. Traditionnellement il était fabriqué dans un tronc d’arbre. De nos jours il est souvent conçu à partir d’une barrique ou d’un tonneau et recouvert d’une peau de vache.
- Le piker. Un morceau de bambou qu’on frappe avec deux baguettes.
- Le tambour malbar est un tambour rond et plat monté sur un cadre de fer et joué avec deux baguettes.Le tambour est recouvert d’une peau de chèvre.
- Le Djembé.
- Et bien sûr il y a le kayamb.
Pour le fabriquer, il faut :
– Des tiges de fleurs de canne.
– Des tringles de bois pour la cadre.
– Des graines de conflore.
– Des petits clous.

Jean Noël, un artisan du côté de Trois Bassins nous montre comment il fabrique un kayamb.
Et si le vendeur était une application?
Depuis que j’ai un nouveau smartphone, j’ai installé quelques applications.
J’en utilise très peu d’ailleurs, une petite douzaine.
Ces quelques applications, pour que je puisse les utiliser me demande ma position géographique, l’accès à mes photos, mes vidéos, le réseau wifi que j’utilise……..
Pour le GPS, normal qu’on puisse me localiser 🙂
Par exemple, j’utilise Viber pour téléphoner gratuitement à des amis qui se trouvent à l’étranger.
Cette application une fois installée, a accès à ma caméra, ma liste de contacts, l’historique de mes appels, ma position………, et apparemment peut même lire mes SMS!!!!!!!!
Je me rends compte que la gratuité à un véritable coût!!!!!
Mon smartphone utilise le système Androïd.
J’ai voulu savoir quelles applications respectent le moins mes données personnelles.
Pour le savoir il y a PrivacyGrade, un site qui classe les applications de Google Play pour mesurer leur politique en matière d’accès à nos données.
A voir ici : http://privacygrade.org/
Ci dessous une vidéo qui montre l’intrusion des applications pour smartphone dans notre vie privée.
On se demande si nous accepterions, dans la vraie vie, ce que nous acceptons pour nos applications.

Je ne joue pas sur mon smartphone, mais même certains jeux apparemment demandent aussi l’accès à certaines données personnelles.
C’est dingue non, vous ne trouvez pas?
Le 10 mai : commémoration de l’abolition de l’esclavage.
La mairie de Paris et l’association Protéa organisent la manifestation « Le mois de la Liberté » le 07 mai 2015.
A cette occasion, le film documentaire « Les Révoltés du Meermin », de Nic Young et de Joe Kennedy sera projeté le 07 mai 2015 à 19H00, à la mairie du 3ème arrondissement de Paris, 2 rue Eugène Spuller,.
La projection sera prolongée d’un débat entre le public et Bruno Maillard et en présence d’un modérateur, militant de l’association Protéa.
La soirée est gratuite et se terminera par un cocktail.
Synopsis :
Le 18 février 1766, les captifs malgaches du navire négrier néerlandais le Meermin se révoltent et prennent le contrôle du vaisseau.
Leur méconnaissance de la navigation en haute mer et les duperies de l’équipage survivant les conduisent cependant au naufrage non loin de la colonie du Cap en Afrique du Sud.
Combinant entretiens d’historiens et scènes filmées reconstituées, un hommage vibrant à ces hommes, ces femmes et ces enfants portés par une farouche volonté de retrouver leur liberté.

Bruno Maillard :
– Docteur en Histoire / Laboratoire CRESOI. Université de La Réunion
– Chargé d’enseignement à l’Université de Paris Est-Créteil
Ma chanson du dimanche : « Supplique pour être enterré à la plage de Sète » de Georges Brassens.
A l’adolescence, j’écoutais énormément Renaud, Cabrel, Marley……….. et j’écoutais aussi énormément Brassens.
J’aurai pu choisir des dizaines de ses chansons en ce dimanche.
Aujourd’hui, c’est celle là que je vous propose.
La Camarde qui ne m’a jamais pardonné,
D’avoir semé des fleurs dans les trous de son nez,
Me poursuit d’un zèle imbécile.
Alors, cerné de près par les enterrements,
J’ai cru bon de remettre à jour mon testament,
De me payer un codicille.
Trempe dans l’encre bleue du Golfe du Lion,
Trempe, trempe ta plume, ô mon vieux tabellion,
Et de ta plus belle écriture,
Note ce qu’il faudrait qu’il advint de mon corps,
Lorsque mon âme et lui ne seront plus d’accord,
Que sur un seul point : la rupture.
Quand mon âme aura pris son vol à l’horizon,
Vers celle de Gavroche et de Mimi Pinson,
Celles des titis, des grisettes.
Que vers le sol natal mon corps soit ramené,
Dans un sleeping du Paris-Méditerranée,
Terminus en gare de Sète.
Mon caveau de famille, hélas ! n’est pas tout neuf,
Vulgairement parlant, il est plein comme un œuf
Et d’ici que quelqu’un n’en sorte,
Il risque de se faire tard et je ne peux,
Dire à ces braves gens : poussez-vous donc un peu,
Place aux jeunes en quelque sorte.
Juste au bord de la mer à deux pas des flots bleus,
Creusez si c’est possible un petit trou moelleux,
Une bonne petite niche.
Auprès de mes amis d’enfance, les dauphins,
Le long de cette grève où le sable est si fin,
Sur la plage de la corniche.
C’est une plage où même à ses moments furieux,
Neptune ne se prend jamais trop au sérieux,
Où quand un bateau fait naufrage,
Le capitaine crie : “Je suis le maître à bord !
Sauve qui peut, le vin et le pastis d’abord,
Chacun sa bonbonne et courage

Et c’est là que jadis à quinze ans révolus,
A l’âge où s’amuser tout seul ne suffit plus,
Je connu la prime amourette.
Auprès d’une sirène, une femme-poisson,
Je reçu de l’amour la première leçon,
Avalai la première arête.
Déférence gardée envers Paul Valéry,
Moi l’humble troubadour sur lui je renchéris,
Le bon maître me le pardonne.
Et qu’au moins si ses vers valent mieux que les miens,
Mon cimetière soit plus marin que le sien,
Et n’en déplaise aux autochtones.
Cette tombe en sandwich entre le ciel et l’eau,
Ne donnera pas une ombre triste au tableau,
Mais un charme indéfinissable.
Les baigneuses s’en serviront de paravent,
Pour changer de tenue et les petits enfants,
Diront : chouette, un château de sable !
Est-ce trop demander : sur mon petit lopin,
Planter, je vous en prie une espèce de pin,
Pin parasol de préférence.
Qui saura prémunir contre l’insolation,
Les bons amis venus faire sur ma concession,
D’affectueuses révérences.
Tantôt venant d’Espagne et tantôt d’Italie,
Tous chargés de parfums, de musiques jolies,
Le Mistral et la Tramontane,
Sur mon dernier sommeil verseront les échos,
De villanelle, un jour, un jour de fandango,
De tarentelle, de sardane.
Et quand prenant ma butte en guise d’oreiller,
Une ondine viendra gentiment sommeiller,
Avec moins que rien de costume,
J’en demande pardon par avance à Jésus,
Si l’ombre de ma croix s’y couche un peu dessus,
Pour un petit bonheur posthume.
Pauvres rois pharaons, pauvre Napoléon,
Pauvres grands disparus gisant au Panthéon,
Pauvres cendres de conséquence,
Vous envierez un peu l’éternel estivant,
Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant,
Qui passe sa mort en vacances.
Vous envierez un peu l’éternel estivant,
Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant,
Qui passe sa mort en vacances…
L’objet de mon adolescence : la radio K7
Et si on me posait la question : quel est l’objet qui me rappelle mon adolescence?
Sans aucune hésitation, je répondrai : « mon petit poste de radio cassettes ».
Je l’ai eu vers l’âge de 12 ans.
A cette époque, dans ma famille on n’avait pas trop les moyens, et ce petit poste était ma fenêtre vers l’extérieur.
C’est avec ce poste que j’ai découvert certains chanteurs que j’écoute toujours aujourd’hui.
A cette époque, entre amis, on s’échangeait des cassettes, vous savez ces K7 à bande, que quelquefois il fallait les réparer manuellement 🙂
Pour les plus jeunes qui me lisent et qui ne les connaissent sûrement pas, cliquez sur le lien suivant :http://fr.wikipedia.org/wiki/Cassette_audio
C’est à cette époque aussi que les radios libres, même à la Réunion ont commencé à exister.
J’avais aussi, je m’en souviens très bien l’abum K7 « Carte postale »de Cabrel, la chanson d’Eddy Grant « Do You Feel My Love», un album K7 aussi des Beatles, des albums K7 de Marley, etc…………..
Je passais mes soirées, avec un casque sur les oreilles pour ne pas déranger les autres membres de ma nombreuse famille à écouter les radios locales avec le séga, le maloya.
De la Réunion, à cette époque je pouvais écouter aussi certains soirs certaines radios de l’île Maurice.
Et puis, il y avait aussi France Inter que j’écoutais en AM. J’avais l’impression de découvrir un nouveau monde quand je me branchais sur les ondes de cette radio.
Mes amis, moins modestes que ma famille via leurs 33 ou 45 tours me faisaient des copies sur ces K7 des chanteurs ou de chansons que j’aimais bien.
En vrac, je pourrai vous citer « Le métèque », « Yesterday », « Master Blaster », « Ecris moi », « Marche à l’ombre », « I like Chopin », «Mise au point », « Africa », « Comme une madone oubliée », « L’aigle noir », « La cage aux oiseaux », « Bob Morane », « La Dolce Vita », « Nous », « Au bout de mes rêves »………
Je pourrai encore rajouter des dizaines de titres encore !!!!
A vous de retrouver les chanteurs 🙂
C’était une toute petite radio cassette en mono.
Je m’en suis servi de 12 à 19 ans.
19 ans, l’âge où j’ai quitté l’île.
A la fin de sa vie, l’antenne a été remplacée par une fourchette 🙂
Ma p’tite radio cassette ressemblait à celle ci.

Et vous, l’objet de votre adolescence?
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.
Il faut savoir mettre les points sur les « I ».
Grégoire, je l’ai vu sur scène en 2010 ou 11, je ne me rappelle plus très bien …….Je ne le connaissais pas à l’époque.
On peut dire que sans être très fan, il m’a quand même surpris, et en bien.
Samedi soir, il était chez Ruquier.
Emission que j’ai regardée en replay hier.
Je me rappelle à l’école primaire et au collège.
Comme matières, ma hantise c’était les maths. les maths et la récitation.
La récitation.
C’est comme cela que cette matière était notée dans mon carnet de texte.
Non pas que je n’aimais pas la récitation.
Ce que j’avais en horreur, c’était de me lever, de me diriger vers la maitresse ou le maitre, le ou la prof, de monter sur l’estrade et de réciter la fameuse poésie devant toute la classe.
Ce qui, je m’en rends depuis une bonne trentaine d’années années, m’ont fait détester la POESIE.
Bin, oui, c’est comme ça, des fois, la réserve ou même la timidité peuvent quelquefois nous bloquer, nous font même détester certaines matières. Bon, pour les maths, je pense que c’est irrémédiable.
Juste pour vous dire, que l’album de Grégoire, « Poésies de notre enfance », confirme depuis de nombreuses années mon amour des mots, des phrases, des poésies, même si dans ce domaine, j’ai encore énormément de choses à apprendre.
C’est tout ce que je voulais partager avec vous en ce lundi.
Le clip est joli, les mots sont tendres. J’aime.

Poésie de Luc Bérimont : « les points sur les i ».
L’album de Grégoire : http://musique.fnac.com/a8256843/Gregoire-Les-poesies-de-notre-enfance-CD-album
Le Piton de la Fournaise : éruption du 17 mai 2015.
Un volcan en éruption est toujours un spectacle grandiose.
Le dimanche 17 mai, encore une fois le Piton de la Fournaise est en éruption.
Ce volcan compte parmi les plus actifs de la planète, en moyenne, une tous les neuf mois. (source Wikipédia)

© Crédit photos : Loïc Herode
Bricolage et ménage de printemps.
Je n’ai pas énormément publié ces temps ci.
Il y a quelque temps, je publiais régulièrement sur ce blog.
Ce n’est pas par manque de motivation, mais ces dernières semaines j’ai eu pas mal de choses à faire, donc, je vais dire que je n’ai pas eu tellement le temps d’allumer mon ordinateur.
Déjà, il y a mon taf.
Même si je l’adore, il y a des jours où une fois rentré chez moi, l’envie d’aller sur Internet ne me disait rien, certainement à cause de la fatigue et aussi l’envie de ne pas rallumer mon ordi 🙂
Après, j’ai commencé un grand ménage de printemps dans mon appart.
J’ai aussi refait un pan de mur dans ma salle à manger. Un pan de mur en lambris PVC à 1 mètre 20 du sol.
J’ai décroché et repeint mon ventilateur au plafond.
J’ai refait quelques touches de peinture sur mes boiseries.
J’ai changé quelques meubles de place. C’est marrant, comme d’habitude, on a l’impression d’avoir un appartement plus grand, alors que les murs n’ont pas bougé :).
J’ai rafraichi deux tabourets.
J’ai aussi décroché mes rideaux et nettoyer mes carreaux.
J’ai aussi refait mes branchements des décodeurs, de ma chaine HIFI et de ma télé. J’ai disposé mes enceintes différemment, et franchement, c’est vachement mieux!!!
J’ai aussi fait des plantations sur mon balcon :
– des géraniums, bien sûr comme tous les ans.
– Mon persil de l’année dernière repousse. Mes quatre fraisiers aussi.
– de la ciboulette, du thym et du basilic poussent.
– j’ai planté aussi un laurier dans un très grand pot.
J’ai vu aussi mes amis et ma famille.
J’ai regardé des films en vidéos, écouté beaucoup de musiques, et puis, j’ai profité du mauvais temps 🙂
Ma chanson du dimanche : « mon bistrot préféré » de Renaud.
Mon bistrot préféré, quelque part dans les cieux
M’accueille quelquefois au jardin du Bon Dieu
C’est un bistrot tranquille où il m’arrive de boire
En compagnie de ceux qui peuplent ma mémoire
Les jours de vague à l’âme ou les soirs de déprime
Près de quelques artistes amoureux de la rime
Je vide deux trois verres en parlant de peinture
D’amour, de chansonnettes et de littérature
Il y a là, bien sûr, des poètes, le Prince
Tirant sur sa bouffarde, l’ami Georges Brassens
Il y a Brel aussi et Léo l’anarchiste
Je revis, avec eux, une célèbre affiche
Trenet vient nous chanter une Folle Complainte
Cependant que Verlaine et Rimbaud, à l’absinthe
Se ruinent doucement en évoquant Villon
Qui rôde près du bar et des mauvais garçons
L’ami René Fallet me parle de ces touches
Qui le font frissonner quand il pêche à la mouche
Et du vin et des femmes et surtout des copains
Qui font la vie plus belle, le désespoir plus loin
Il y a Boris Vian, Maupassant et Bruant
Ecoutant les histoires d’un Coluche hilarant
Je m’assois avec eux pour quelques libations
Entouré de Desproges et Reiser et Tonton

Nous rigolons des cons avec Fréderic Dard
Souvenirs de prison avec le vieux Boudard
Audiard et puis Pagnol s’allument au Pernod
Et je lève mon verre à Robert Doisneau
Gainsbourg est au piano, jouant sa Javanaise
Et nous chante l’amour qu’il appelle la baise
Dewaere est là aussi, dans un coin, et il trinque
Avec Bernard Dimey, avec Boby Lapointe
Assis autour du poêle il y a Jacques Rigaut
Franquin, Jean-Pierre Chabrol, Prévert et son mégot
Nous parlons de suicide, Maurice Ronet arrive
La mort est, quelquefois, tout un art de vivre
Mon bistrot préféré, quelque part dans les cieux
Je l’avoue, désolé, manque de femmes un peu
Mais les amis, les potes, qui le hantent toujours
Savent aussi bien qu’elles ce que c’est que l’amour
Ils sont bien plus vivants, dans ma mémoire au moins
Que la majorité de mes contemporains
Si demain la Faucheuse vient me prendre la main
Pourvu qu’elle me conduise au bistrot des copains
Cette semaine, Roger a été invité dans ce bistrot préféré………………..
Mon concert du dimanche : Danyèl Waro au Cabaret Sauvage
Depuis de nombreuses années, je voulais le voir sur scène.
Manque de temps, rendez vous ratés………
Enfin ce vendredi 15 mai, au Cabaret Sauvage à Paris, je l’ai vu mon Danyèl Waro.
J’ai eu des frissons, comme en 1988 pour un certain Renaud.

Pour acheter les albums de Danyèl Waro, c’est par là : http://www.labelcobalt.com/
Un agréable spectacle. J’irai le revoir dès que je pourrai, sûr!!!!!
Pour acheter les albums de Danyèl Waro, c’est par ici.
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« Allé di partou », le Bordeaux au nom créole.
Sommaire
Toggle« Allé di partou » est une cuvée emblématique de l’ile de la Réunion.
Un vin produit par Olivier Cadarbacasse.
Olivier Cadarbacasse. est d’origine réunionnaise et s’est installé dans le bordelais en 2002.
Il a été récompensé plusieurs fois :
- Guide HACHETTE 2005, 2009
- Médaille d’Argent 2003 au Concours de Bordeaux
- Médaille de Bronze 2009 au Concours de Bordeaux
- Noté 86/100 par le Wine Enthusiast


J’ai commandé.
J’ai reçu ma commande une semaine aprés.
j’ai goûté.
j’ai adoré
Et puis une p’tite bouteille de vin à table avec un nom créole et la carte de la Réunion sur l’étiquette, un p’tit peu de soleil de mon île, un Bordeaux en plus c’est vraiment fun et « Allé di partou ».
Ce billet n’est pas sponsorisé mais si Olivier Cadarbacasse pourrait faire gagner un coffret de six bouteilles à un de mes lecteurs, ça serait sympa à l’aide d’un petit concours;
il peut me contacter via ma page contact.
Pour commander « Allé di partou », c’est par là : http://www.unvindeproducteur.com/alle-di-partou.htm
« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé »






























