Mon live du dimanche : « On » de Joyce Jonathan

On est tant, on est tout, on est si peu de choses
Et tellement tout qu’on ne sait plus très bien pourquoi on joue
On se laisse, on se lasse, on abandonne vite à la surface
Et quand tout dégringole (quand tout dégringole) on se carapace

J’tape plus fort
Et je passe à tabac tous mes remords
Je me battrais sans abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On
J’tape plus fort
Quand au fond de la poitrine ça cogne
Je prendrai soin de n’abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On

On se pare, on se marre, on s’égare en chemin, on redémarre
On se met mal pour un soir juste pour voir
On s’éteint, on s’épaule, on repousse les trains, on tient des rôles
Et ma main dans la tienne me fait du bien

J’tape plus fort
Et je passe à tabac tous mes remords
Je me battrais sans abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On
J’tape plus fort
Quand au fond de la poitrine ça cogne

Je prendrai soin de n’abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On

On est je, on est tu
Et puis on devient nous
C’est le jeu
Et puis il y a vous, il y a eux

J’tape plus fort
Et je passe à tabac tous mes remords
Je me battrais sans abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On
J’tape plus fort
Quand au fond de la poitrine ça cogne
Je prendrai soin de n’abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On

On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On

On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On and On
On and On and On and On and On and

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