Vieux articles

Apprendre à dessiner

Le dessin est souvent perçu comme un talent réservé à quelques élus.
Pourtant, avec des outils simples et une méthode adaptée, chacun peut libérer sa créativité et progresser rapidement.
Que vous soyez débutant ou que vous cherchiez une approche plus détendue, voici une méthode accessible à tous pour dessiner facilement.
Ce n’est pas moi qui le dis mais leglaude231.
Je ne vous cache pas que personnellement, un gosse de 5 ans dessine mieux que moi.

Avec cette méthode simple, dessiner devient un plaisir et avec @leglaude231, cela parait tellement facile!!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors, prenez un crayon, un bout de papier, et lancez-vous dès aujourd’hui !
Vous serez étonné de ce que vous êtes capable de créer avec un peu de pratique et beaucoup de plaisir.

Et vous, quelles sont vos astuces pour dessiner ?

@leglaude231 Apprend à dessiner : leçon N 1 #dessiner#apprendre #tutorial ♬ son original – leglaude

@leglaude231 Dessine facilement: methode des CONTOURS #dessin#facile#contour #tutorial ♬ son original – leglaude

@leglaude231 Apprendre a dessiner : leçon N 2#dessiner#apprendre#contour#tutorial ♬ son original – leglaude

Ma reprise du dimanche : « Les yeux de la Mama » par Julien Doré

« Les yeux de la mama » est une chanson interprétée par Kendji Girac.
Elle rend un hommage émouvant à l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant.
Cette reprise par Julien Doré est magnifique!!!

 

 
Les paroles de la chanson sont dans le premier commentaire.

Humour en vrac N° 46

Pour l’abolition des jours de carence en cas de maladie

Les trois jours de carence : une injustice pour les travailleurs ?

Dans le paysage des droits des salariés, la question des jours de carence reste un sujet brûlant et clivant. Actuellement, en France, lorsqu’un salarié tombe malade, il doit supporter un délai de trois jours non indemnisés avant de percevoir les allocations journalières de la Sécurité sociale.
Ces trois jours de carence, bien qu’appliqués au nom d’une logique budgétaire, posent de nombreuses questions d’équité et d’efficacité.

Une pénalité injuste pour les malades

Les jours de carence sont souvent perçus comme une double peine. Non seulement le salarié doit affronter une période de maladie, souvent accompagnée de frais médicaux, mais il doit aussi faire face à une perte de revenus.
Cette mesure frappe particulièrement les foyers modestes, pour qui chaque euro compte, et les précaires, souvent privés des garanties complémentaires offertes par certaines entreprises.

Les salariés qui ne peuvent pas se permettre cette perte sont parfois contraints de travailler malades, risquant non seulement leur santé, mais aussi celle de leurs collègues. Cette situation est particulièrement problématique dans les secteurs où le télétravail est impossible, comme la restauration, la santé ou le commerce.

Un impact limité sur la réduction de l’absentéisme

Les partisans des jours de carence soutiennent qu’ils sont nécessaires pour limiter les abus et responsabiliser les salariés.
Cependant, les études montrent que l’impact de cette mesure sur l’absentéisme est faible.
En réalité, la grande majorité des arrêts de travail sont prescrits pour des raisons médicales valables. Imposer un délai de carence ne décourage pas les fraudes, mais sanctionne surtout les salariés honnêtes.

Des alternatives possibles

De nombreux pays européens ont choisi d’autres approches pour gérer les arrêts maladie.
En Allemagne, par exemple, il n’y a pas de jours de carence : les employeurs prennent en charge les premiers jours de maladie.
Cette politique favorise un climat de confiance entre employeurs et salariés, tout en assurant une meilleure protection pour les travailleurs.

Un appel à la solidarité

Le système des jours de carence repose sur une vision punitive, qui semble incompatible avec les valeurs de solidarité et de justice sociale.
Plutôt que de pénaliser les malades, il serait temps de repenser notre modèle pour le rendre plus équitable et inclusif. La santé n’est pas un luxe, c’est un droit fondamental.

Les jours de carence appliqués aux arrêts maladie représentent une injustice sociale qui pénalise tous les travailleurs, qu’ils soient issus du secteur privé ou de la fonction publique.

Ces jours non indemnisés, censés limiter les abus, frappent avant tout les salariés précaires, les familles à faibles revenus et les professions exposées. Pire encore, ils incitent de nombreux malades à travailler malgré tout, au détriment de leur santé et de celle de leurs collègues, entraînant des risques de propagation des maladies.

En France, la situation est encore plus inégale :

  • Dans le secteur privé, trois jours de carence s’appliquent systématiquement, sauf exception négociée par les entreprises.
  • Dans la fonction publique, un jour de carence est instauré dans certains cas, mais pas pour les maladies professionnelles ou les accidents de service.

Cette différence de traitement crée une fracture injustifiée entre les travailleurs et entretient un sentiment d’inégalité. De plus, des études montrent que la mesure n’a qu’un impact limité sur la réduction de l’absentéisme.

Nous, citoyens, appelons le gouvernement et les législateurs à :

  1. Supprimer les jours de carence pour tous les travailleurs, qu’ils soient du secteur privé ou public.
  2. Mettre en place des contrôles efficaces pour limiter les abus sans pénaliser les salariés réellement malades.
  3. Protéger la santé des travailleurs en favorisant un modèle basé sur la solidarité et l’équité, comme dans d’autres pays européens.

La santé n’est pas un privilège, c’est un droit !
Rejoignez notre mouvement pour demander une réforme juste et solidaire. Ensemble, mettons fin à une mesure qui pénalise les malades et fragilise les travailleurs.

 

Signez cette pétition pour faire entendre votre voix et exiger la suppression des jours de carence: https://chng.it/D9WsL5YhPC

 

Anniversaire

Face à l’absence, la présence de l’autre perdure d’une manière différente mais tout aussi significative.
L’idée que l’autre continue à vivre à travers nos actions, nos sourires et nos souvenirs, nous donne la force de continuer à avancer.
La promesse de retrouvailles, un jour, dans un autre lieu et dans un autre temps, illumine l’espoir qui traverse la douleur de l’absence.La personne aimée continue de vivre à travers nos pensées, nos actes et nos émotions.
Malgré la douleur, l’espoir de se retrouver un jour nous aide à avancer.


 
Aujourd’hui tu aurais eu 63 ans.
Souvent j’ai ce genre de discussion avec toi … toi mon frère

Moi : Salut… ça fait longtemps.
Tu me manques tellement.

Toi: Je sais. Je suis toujours là, tu sais.
Pas comme avant, mais d’une autre façon.

Moi : Ce n’est pas pareil.
Il y a tant de choses que j’aimerais te dire… des moments que j’aurais voulu partager avec toi.
Toi: Parle-moi. Je t’écoute.
Qu’est-ce que tu as sur le cœur ?

Moi : J’ai peur parfois… peur d’oublier ta voix, ton rire, de t’oublier..
Toi: Tu n’oublieras jamais.
Je suis gravé dans ton cœur, dans tes souvenirs.
Je suis fier de toi.

Moi : C’est dur sans toi.
Toi : Je sais, mais tu n’es pas seul.
Je suis dans chaque sourire que tu partages, chaque décision courageuse que tu prends.
La vie continue, et c’est comme ça que tu me garderas vivant.

Moi: Merci… J’espère que tu es bien là où tu es.
Toi : Je le suis. Et toi aussi tu le seras.
Prends soin de toi, vis pleinement, et on se retrouvera… un jour. Sûrement

Le saviez-vous N°20

  1. L’ADN humain est composé à 99,9 % de la même séquence génétique que celle de tous les autres humains, mais cette infime différence de 0,1 % est responsable de toute notre diversité.
  2. Le Sahara, considéré comme le plus grand désert chaud du monde, était autrefois une région verdoyante avec des lacs et des rivières, il y a environ 10 000 ans.
     
  3. Les papillons goûtent avec leurs pattes, où se trouvent des récepteurs gustatifs qui leur permettent de détecter le sucre dans les fleurs sur lesquelles ils se posent.
  4. Le cœur d’une baleine bleue pèse autant qu’une petite voiture et bat si fort qu’on peut l’entendre à plus de 3 kilomètres sous l’eau.
  5. Les astronautes ne peuvent pas pleurer dans l’espace comme sur Terre, car en apesanteur, les larmes forment des bulles qui restent collées aux yeux.
  6. Les langues les plus parlées dans le monde sont le mandarin, l’espagnol et l’anglais, mais la langue la plus ancienne encore en usage est le tamoul, datant d’au moins 2 500 ans.
  7. Les requins sont apparus sur Terre il y a plus de 400 millions d’années, bien avant les dinosaures, et certaines espèces comme le requin du Groenland peuvent vivre plus de 400 ans !
  8. Les étoiles de mer n’ont pas de cerveau, mais elles possèdent un réseau nerveux qui leur permet de coordonner leurs mouvements et de se régénérer en cas de perte d’un bras.
  9. Le mot le plus long en français est « anticonstitutionnellement », mais en médecine, des termes comme pneumonoultramicroscopicsilicovolcanoconiose battent tous les records !
  10. Le plus vieux message retrouvé dans une bouteille à la mer a été lancé en 1886 et retrouvé en 2018, soit 132 ans plus tard !

Mon chanteur du dimanche : Baptiste Vendatour

La première  » Que reste-t’il  » m’a énormément plu.
« Que reste-t-il », une chanson sur l’écologie et sur l’urgence climatique!!
Puis, une, deux, trois…….quatre et puis d’autres encore……..


Plongée dans l’inconnu

Le 22 octobre 2020, ma vie a basculé.
Ce mois-là, le COVID-19 m’a frappé de plein fouet.
Un bouleversement total, m’entraînant dans un coma artificiel dont je suis revenu avec des souvenirs flous, des émotions mêlées et une nouvelle perception du temps, de la vie, et de moi-même.

L’annonce : entre choc et incompréhension

Tout a commencé par des symptômes presque anodins.
Du 17 octobre au 22 octobre 2020 j’étais dans un état de fatigue  extrême.
Une fièvre légère, une toux persistante, un essoufflement croissant…
Puis tout s’est accéléré.
Le 22/10/2024 au soir, les médecins ont pris la décision de me placer dans un coma artificiel pour protéger mon corps, affaibli par le virus, et lui donner une chance de combattre.

Qu’ai-je vécu durant ces jours d’inconscience ?
Si, pour mon entourage, j’étais plongé dans un profond sommeil, pour moi, c’était une tout autre expérience, à la frontière entre rêves et cauchemars.
Pour ma famille, ces cinq semaines furent sans doute interminables, chaque journée marquée par l’attente, l’espoir, et parfois la peur d’un appel de l’hôpital.
Mais pour moi, c’était comme cligner des yeux : un instant, puis le réveil.

Rêves et cauchemars

Je me souviens de rêves… ou plutôt de sensations.
Des images éphémères, parfois rassurantes, comme si mon esprit cherchait à m’offrir un refuge face à l’épreuve que traversait mon corps.
Je me voyais marcher sur une plage infinie, sans fin ni horizon.
J’ai voyagé un peu partout!!! Je me rappelle encore de tous mes rêves!!!
Je ressentais la chaleur du soleil, la douceur du sable sous mes pieds.
D’autres fois, c’était différent.
Des paysages étranges, des lieux inconnus, où le temps semblait ne pas exister. Ces rêves étaient calmes, presque réconfortants.
Pourtant, ils laissaient un goût d’irréel.

J’ai vécu des rêves d’une intensité que je n’avais jamais connue auparavant.

Mais tous ces instants n’étaient pas paisibles.
Des sensations oppressantes, comme si quelque chose me retenait. Ces cauchemars n’étaient pas toujours visuels.
Parfois, c’était une sensation de lutte pour respirer.
Une angoisse sourde, comme si mon esprit ressentait ce que mon corps vivait réellement : la bataille contre le virus.

Je me souviens de tous ces rêves et cauchemars.
J’ai rêvé du début jusqu’à mon réveil.

Un rêve étrange et récurrent m’a marqué : des taupes.
Ces petits animaux souterrains, que je n’avais jamais vraiment remarqués dans ma vie éveillée, ont creusé leur chemin dans mon esprit endormi, laissant derrière elles des questions, des impressions, et une fascination que je n’ai pas oubliée.

Aujourd’hui, je repense souvent à ces images.
Certains rêves continuent de m’apaiser, comme des souvenirs d’un voyage hors du temps.
Les cauchemars, eux, me rappellent la fragilité de l’existence et la force que j’ai dû puiser pour revenir.
Les sensations étaient parfois oppressantes, d’autres fois légères, mais toujours floues.
J’étais à la frontière, à mi-chemin entre deux mondes : celui de la vie et celui de l’oubli.

De mon côté, je ne me souviens pas de douleurs.
Je ne savais pas que je jouais ma survie.
Mais chaque seconde, chaque minute, mon corps luttait contre un ennemi invisible, tenace, qui n’avait qu’un but : me faire basculer de l’autre côté.

Parmi ces rêves singuliers, une image m’a particulièrement marqué : des animaux traversant des murs.
Des animaux les traversaient, comme s’ils n’existaient pas.
Des taupes, des oiseaux, des renards, et d’autres créatures plus difficiles à identifier. Ils passaient d’une pièce à l’autre, glissant à travers les parois comme des ombres, libres de tout obstacle physique.
J’étais à la fois observateur et acteur de cette scène, fasciné par cette capacité à ignorer les limites.

Pendant cinq semaines, alors que mon corps luttait, mon esprit, lui, voyageait.
Ce ne furent pas des voyages ordinaires, mais des traversées étranges, irréelles, où les frontières entre rêve et réalité disparaissaient.
Certains souvenirs me semblaient si réels qu’il m’a fallu du temps pour accepter qu’ils n’avaient été que des constructions de mon esprit.

Un rêve d’espoir

Un rêve particulier reste gravé en moi : celui d’une voûte céleste et fleurie.
Un lieu à la fois irréel et apaisant, où la beauté du ciel étoilé se mêlait à celle d’un jardin.

Je me souviens d’avoir levé les yeux dans ce rêve, calé dans un fauteuil avec des accoudoirs.
Une voûte céleste immense, infinie, parsemée d’étoiles scintillantes.
Mais ce n’était pas un ciel ordinaire. Entre les étoiles, des fleurs par centaines,par milliers, comme si le ciel s’était transformé en jardin.
Chaque fois que je clignais des yeux, la voûte céleste changeait de couleur. Le bleu étoilé devenait violet, puis doré, avant de virer à un vert éclatant. Les couleurs devenaient de plus en plus intense.
Une paix profonde.
Le silence était présent, mais c’était un silence vivant. Juste un lointain son de tam-tam à peine perceptible.
J’étais tranquille.

Ni angoisse, ni peur. Juste une sensation profonde de calme, comme si tout était à sa place, comme si rien ne pouvait me troubler.
Parfois, je sentais cette présence approcher, comme une main tendue que je ne voyais pas.
Cette sensation de « venir me chercher » n’avait rien d’angoissant. Ce n’était pas une injonction, mais plutôt une invitation.

Lorsque je suis revenu à la réalité, ce rêve est resté avec moi. Il m’a accompagné dans ma convalescence, m’offrant  une image d’espoir, et elle me rappelle que la vie, malgré ses épreuves, peut être magnifique.

Le retour à la réalité

Petit à petit, la réalité a pris forme.
Le souvenir de mes rêves s’est estompé, mais une sensation persistante demeurait : celle d’avoir vécu quelque chose de profondément transformateur. La lumière, la chaleur, les bruits du monde extérieur… tout me semblait à la fois familier et étrangement nouveau.

Je me souviens de mes premiers instants de pleine conscience, où tout semblait suspendu.
J’avais l’impression de renaître, de retrouver un corps qui m’appartenait, mais dans lequel je n’étais plus tout à fait moi. Le temps, les visages, les gestes semblaient déformés, comme si le monde m’était étranger.
Physiquement affaibli,  j’ai dû réapprendre à marcher, respirer, et même à retrouver la force de me projeter dans l’avenir.

Tout a commencé par des bribes de conscience.
Un souffle, un bruit de machines, des voix lointaines.
Puis, petit à petit, les sensations sont revenues.
Je sentais mon corps, lourd et engourdi. Les bruits autour de moi se sont précisés : des murmures de médecins, des bruits d’instruments, puis le visage flou de mon fils, de ma fille.
Un autre défi m’attendait : réapprendre à bouger, à respirer, à parler.

La transition entre le monde des rêves et la réalité s’est faite lentement, presque imperceptiblement, comme si j’étais encore suspendu entre les deux, cherchant ma place dans cette nouvelle réalité.

Mais je ne voulais pas quitter l’obscurité, pas tout de suite. Les rêves, les cauchemars, les visions de la voûte céleste, des taupes, des animaux traversant les murs, étaient encore présents, comme si je les avais vécus réellement.

J’étais à la fois fatigué et apaisé, et une partie de moi hésitait à revenir complètement.Aujourd’hui, je regarde cette période avec un mélange de gratitude et de respect.
Gratitude pour les soignants qui m’ont sauvé, pour ma famille qui a espéré

Rééducation

Quatre mois de rééducation ont suivi, un processus long et difficile, mais nécessaire pour reconstruire ce que la maladie avait pris.
Chaque mouvement, chaque geste semblait une montagne à gravir. Mes muscles étaient faibles, et chaque effort demandait une énergie que je n’avais plus.

Les premiers mois ont été marqués par une série d’exercices de rééducation, mais aussi par une exploration des limites physiques.
Chaque jour, les progrès étaient minimes, à peine perceptibles, mais pourtant essentiels. Il fallait reconstruire tout, recommencer à marcher.
Rien ne semblait aller de soi, chaque mouvement était un défi.

Chaque jour, je faisais des progrès, parfois invisibles aux yeux des autres, mais que moi seul pouvais mesurer. Chaque pas était une victoire et à chaque étape, il faut célébrer ces petites victoires.

Heureusement, les rêves, les souvenirs du coma, étaient toujours là, une source de réconfort et de motivation.
Le calme, la tranquillité que j’avais ressentis, étaient un phare dans la nuit de la rééducation. Et, paradoxalement, c’est dans les moments les plus difficiles que ces souvenirs revenaient comme une promesse de renaissance, de guérison.

Une page tournée, mais jamais oubliée

Cette expérience m’a changé.
Elle a laissé une empreinte indélébile sur ma vie et sur la façon dont je perçois le monde.
Désormais, chaque jour est une opportunité, chaque instant une occasion d’être pleinement présent.

J’ai longtemps hésité à écrire ces quelques lignes.
Il m’a fallu quatre ans.
Quatre ans pour vous livrer mon témoignage.
A ceux qui traversent cette épreuve, ou qui ont un proche plongé dans cet état, je veux dire : l’espoir est une lumière. Même dans l’obscurité, il existe.
Et parfois, revenir à la vie, c’est renaître avec une nouvelle vision du monde.

Vous avez dit
Vous avez di
Vous

Sports extrêmes

En quête de sensations fortes.
Ils repoussent les limites de l’humain et du possible, alliant performance physique, courage et parfois prise de risques impressionnantes et dangereuses.
Des sauts en parachute aux descentes en VTT sur des terrains accidentés, en passant par le surf sur des vagues géantes, les sports extrêmes incarnent un mélange unique d’habileté, de concentration et d’audace, faisant vivre à ceux qui les pratiquent des expériences inoubliables.

Mon émission du dimanche : « L’oreille est hardie » de France Culture

« L’Oreille est Hardie » est une émission de radio diffusée sur France Culture.
Elle met en avant la musique contemporaine et explore des répertoires variés, parfois méconnus, en mêlant interviews et découvertes sonores.
L’èmission s’intéresse aussi bien aux grandes figures de la musique moderne qu’à de jeunes créateurs innovants.

Souvent, elle inclut des éclairages sur les processus créatifs et les influences culturellles

Elle s’adresse à un public amateur de musique et d’art contemporain en quête d’ouverture et de réflexion.

Les 23 et 24 novembre 2024. Danyel Waro, Ann O’aro et Jean D’Amérique pour la rencontre poétique « Créolités » au Musée du Quai Branly.

Lecteur audio

Lire la suite

Dix fruits exotiques de la Réunion

La Réunion, cette île tropicale au cœur de l’océan Indien, est un véritable paradis pour les amateurs de fruits exotiques.
Grâce à son climat unique et sa biodiversité, l’île offre une grande variété de fruits délicieux.
Voici 10 fruits de La Réunion que vous devez absolument goûter si vous en avez l’occasion.

1. Le letchi

Le letchi est probablement l’un des fruits les plus emblématiques de La Réunion, surtout pendant la période des fêtes de fin d’année. Son goût sucré et parfumé est irrésistible, et il est souvent consommé frais, en dessert ou même en salade de fruits.

2. Le fruit de la passion

Le fruit de la passion, avec sa pulpe juteuse et parfumée, est une explosion de saveurs tropicales. Il est utilisé dans des jus, des desserts ou même pour aromatiser des cocktails. À La Réunion, on trouve différentes variétés, notamment le maracuja jaune et le petit fruit de la passion violet.

3. La papaye

La papaye  est une explosion de couleur et de saveur. Elle se déguste nature, en jus, ou accompagnée de jus de citron vert pour une touche d’acidité. Elle est également utilisée en salade ou en cuisine locale.

4. L’ananas victoria

L’ananas Victoria est une variété très prisée, connue pour sa petite taille, sa chair dorée et sa saveur douce et sucrée. C’est l’un des fruits emblématiques de l’île, souvent dégusté frais ou intégré dans des plats locaux.

5. Le pitaya ou fruit du dragon

Le pitaya, également connu sous le nom de fruit du dragon, est un fruit au look unique avec sa peau écailleuse rose ou jaune. Sa chair blanche ou rouge, parsemée de petites graines noires, est rafraîchissante et légèrement sucrée.

6. Le tangor

Le tangor est un hybride entre l’orange et la mandarine, offrant une saveur douce et acidulée. À La Réunion, il est souvent consommé en jus ou frais, et il est très apprécié pour sa chair juteuse.

7. La goyave

La goyave est un fruit très parfumé, à la chair tendre, qui se consomme frais ou en jus. Sa saveur est douce, avec des notes acidulées, et il existe plusieurs variétés, dont la goyave rouge, qui est la plus populaire.

8. Le zanone ou corossol

Le corossol est un fruit à la peau verte et épineuse, avec une chair blanche et douce qui se consomme en jus, en sorbet, ou simplement nature. Son goût est un mélange unique de saveurs sucrées et acidulées.

9. Le longani

Le longani est de la même famille de fruits que le litchi. sa peau est de couleur brun clair ou jaunâtre, contrairement à la peau rouge du letchi.
Sa peau est de couleur brun clair ou jaunâtre, il est parfois appelé l’« œil de dragon » en raison de sa chair translucide, blanche, et de son noyau sombre, qui ressemble à un œil.

10.La mangue

Fruit emblématique de l’île, reconnue pour sa qualité exceptionnelle et son goût unique.
Il existe plusieurs variétés de mangues cultivées sur l’île, notamment  la mangue cœur de bœuf, la greffe,la carotte………..

Et vous? votre fruit préféré???????

Joyeux Noël 2024

Alors, comment s’annonce ce réveillon pour vous tous?
De façon heureuse et en famille j’espère ?
Un petit diaporama s’impose aujourd’hui.
Cliquez sur l’image ci dessous.


Enigmes

Tentez de résoudre ces treize énigmes.
Voici une sélection d’énigmes faciles à résoudre.

Si vous bloquez sur une question,  sélectionnez l’espace entre les [ ].
À vous de jouer !

Énigme 1 : La mystérieuse

Je suis toujours à tes côtés, mais tu ne peux jamais me toucher. Quand il fait nuit, je disparais.
Qui suis-je ?

[ L’ombre ]

Énigme 2 : Le coffre piégé

Un coffre contient une clé qui peut le déverrouiller. À côté, une note indique :

  1. Une seule phrase sur trois est vraie.
    • La clé est dans le coffre.
    • La clé est sous le coffre.
    • La clé n’est ni dans ni sous le coffre.
      Où est la clé ?

[ Sous le coffre ]
[ (Si seule une phrase est vraie, alors « La clé est dans le coffre » et « La clé n’est ni dans ni sous le coffre » ne peuvent pas coexister.) ]

 

Énigme 3 : Les portes du choix

Tu te tiens devant deux portes. Derrière l’une se trouve un trésor, derrière l’autre, le vide. Chaque porte est gardée par un gardien :

  • L’un ment toujours.
  • L’autre dit toujours la vérité.
    Tu peux poser une seule question pour savoir quelle porte choisir. Que demandes-tu ?

[ « Si je demandais à l’autre gardien quelle porte mène au trésor, que me répondrait-il ? » ]
[ Choisis ensuite l’autre porte. ]


Énigme 4 : Le casse-tête des fruits

Dans un panier, il y a trois pommes. Tu dois les partager entre trois personnes de façon qu’elles aient toutes une pomme, mais il doit rester une pomme dans le panier. Comment fais-tu ?

[ Tu donnes une pomme à deux personnes, et la troisième reçoit le panier avec la pomme dedans. ]


Énigme 5 : L’objet unique

Je n’ai qu’une seule couleur,
Mais je peux prendre mille formes.
Je suis léger comme l’air,
Mais personne ne peut m’attraper.
Qui suis-je ?

[ L’ombre (ou une autre réponse selon l’interprétation, comme un nuage). ]

 

Énigme 6 : L’invité surprise

Plus je suis là, moins tu peux me voir.
Qui suis-je ?

[ L’obscurité. ]


Énigme 7 : Les trois interrupteurs

Tu es devant un panneau avec trois interrupteurs. L’un d’eux allume une ampoule dans une pièce fermée. Tu ne peux entrer dans cette pièce qu’une seule fois. Comment peux-tu identifier quel interrupteur contrôle l’ampoule ?

[ Allume le premier interrupteur et laisse-le allumé pendant quelques minutes. Éteins le premier interrupteur, allume le deuxième et entre dans la pièce. Si l’ampoule est allumée, c’est le deuxième interrupteur. Si l’ampoule est éteinte mais chaude, c’est le premier.Si l’ampoule est éteinte et froide, c’est le troisième. ]


Énigme 8 : Le voyageur silencieux

Je ne parle pas, mais je raconte des histoires.
Je n’ai pas de jambes, mais je peux te faire voyager.
Qui suis-je ?

[ Un livre. ]


Énigme 9 : Sans fin

Je monte et je descends,
Mais je ne bouge jamais.
Qui suis-je ?

[ Un escalier. ]


Énigme 10 : Les deux frères

Nous sommes deux, mais nous ne pouvons jamais nous voir.
Quand l’un est là, l’autre disparaît.
Qui sommes-nous ?

[ Le jour et la nuit. ]

 

Énigme 11 : L’éternel

Je commence et je finis au même endroit,
Qui suis-je ?

[ : Un cercle. ]


Énigme 12 : Les nombres oubliés

Je suis un nombre.
Multiplie-moi par moi-même et ajoute-moi.
Tu obtiendras 42.
Quel est ce nombre ?

[ : 6. (6 × 6 + 6 = 42. ]


Énigme 13 : L’invisible compagnon

J’avance à tes côtés,
Mais tu ne m’entends jamais.
Je suis là quand tu cours,
Mais pas dans le noir.
Qui suis-je ?

[ Ta silhouette. ]

Les plus belles cascades de la Réunion

La Réunion compte plus de 100 cascades répertoriées, dispersées à travers toute l’île.
Cependant, leur nombre exact peut varier en fonction des précipitations, du relief et de l’accès.
Certaines cascades sont permanentes, tandis que d’autres apparaissent temporairement après de fortes pluies ou cyclones.

Les plus célèbres, comme celles mentionnées ci-dessous sont accessibles et bien connues des locaux et des visiteurs, mais de nombreuses autres, parfois situées dans des endroits reculés ou inaccessibles, restent moins connues, contribuant au caractère sauvage et préservé de l’île.

Les cascades de La Réunion sont parmi les joyaux naturels les plus emblématiques de l’île. Grâce à son relief volcanique et à son climat tropical, La Réunion regorge de chutes d’eau spectaculaires, nichées dans des écrins de verdure. Voici quelques-unes des cascades les plus célèbres :

1. Cascade de Grand Galet

Située dans le sud de l’île, cette cascade est l’une des plus photographiées.
Elle se trouve dans la vallée de Langevin et offre un spectacle impressionnant avec ses multiples filets d’eau se déversant dans un bassin bleu-vert.
C’est un lieu prisé pour la baignade et les pique-niques.

2. Les Trois Bassins

Ce site, dans l’ouest de l’île, abrite plusieurs bassins alimentés par des cascades.
Les bassins Malheur et Cormoran sont particulièrement connus pour leurs eaux limpides, idéales pour une baignade rafraîchissante.

3. Le Voile de la Mariée

Située dans le cirque de Salazie, cette cascade tire son nom de son apparence : de multiples filets d’eau fins descendent le long de la montagne, évoquant un voile de mariée.
Elle est particulièrement belle après les pluies.

4. Trou de Fer

Cette cascade impressionnante, située dans le massif de Bélouve, est l’une des plus hautes de l’île.
L’accès est difficile, mais le survol en hélicoptère offre une vue inoubliable sur cette chute qui dévale plus de 700 mètres de falaises abruptes.

5. Cascade Blanche

Toujours dans le cirque de Salazie, cette cascade est réputée pour sa hauteur spectaculaire, dépassant les 600 mètres.
Elle est alimentée par les pluies fréquentes de la région, ce qui en fait une attraction incontournable.

6. Cascade Niagara

À Sainte-Suzanne, sur la côte est, cette cascade est facilement accessible et se jette dans un bassin où il est possible de nager.
Elle est entourée de champs de canne à sucre, ce qui lui confère un charme particulier.

7. Bassin des Aigrettes et Bassin Cormoran

Ces cascades, accessibles depuis Saint-Gilles, sont parfaites pour les amateurs de randonnées et de baignades.
Le sentier qui mène à ces sites traverse une forêt tropicale luxuriante.

8. Cascade des Délices

Près de Saint-André, cette cascade est idéale pour une excursion en famille.
Le site est paisible et facile d’accès, avec des bassins propices à la baignade.

Conseils pour visiter :

  • Saisonnalité : Les cascades sont plus impressionnantes pendant la saison des pluies (de décembre à mars), mais certaines peuvent être dangereuses après de fortes précipitations.
  • Randonnées : De nombreuses cascades nécessitent une marche d’approche ; portez des chaussures adaptées.
  • Préservation : Respectez les lieux naturels en emportant vos déchets et en suivant les sentiers balisés.

Soutenons Mayotte : Notre aide compte !

Le peuple mahorais traverse une période difficile, et a besoin de nous.
En faisant un don, nous contribuons à apporter une aide concrète : accès à l’eau, soins médicaux, nourriture, ou encore soutien éducatif.

Chaque geste, même modeste, peut faire une grande différence.
Ensemble, montrons notre solidarité et aidons Mayotte à surmonter ces épreuves.

Faites un don maintenant et devenez acteur du changement : https://www.onparticipe.fr/c/afSVhxnv

Cette cagnotte est lancée par Anna Losseni.
Elle est enseignante dans un collège de Mayotte depuis quatre ans. Elle est revenue en France juste avant le passage sur l’île du cyclone Chido et organise une collecte de vêtements à Romilly-sur-Seine d’où elle est originaire……. Lire la suite

Bon Fèt Kaf 2024

Lo 20 désanm i mont soley,
In zour bann zansèt la larg zot rèv.
Dan bann bwa lontan, dan lèr nwar,
Zot la batay pou larg lo liswar.

Tanbour i son lo kèr bann dimoun,
Maloya bèl, i vibre ziska lontan.
Zot in galèr, zot in soufer,
Mé zordi nou santi zot fèr.

In lèrsi pou tèr, pou lavi,
Pou nout liberté, pou nout mémwar osi.
Bann razèr dann zié, bann lèr dann kèr,
Bann krazé i lèv ek lo lèr.

Fèt Kaf, sé pa just lo pasé,
Sé osi in promès nou largé.
Pou tou dimoun i viv ansanm,
Dan lamour, dan réspé, dan nout kanton.

Alor, lévé roulèr, kayamb i dans,
Maloya i mont pou bann bannzil en transe.
20 désanm, in zour bann zansèt inn donn,
In zour kot liberté lé d’or ek coton.

Pour la traduction en français, voir en page 2.

Ma chanteuse du dimanche : Emma Peters

Chanteuse et auteure-compositrice française née en 1996 à Lille.
Passionnée par la musique dès son plus jeune âge, elle se fait d’abord connaître grâce à des reprises acoustiques qu’elle publie sur YouTube, et c’est comme cela que je l’ai entendu pour la première fois.
En 2021, elle sort son premier album, « Dimanche », un projet introspectif qui aborde des thèmes universels comme l’amour, les doutes et les petits moments du quotidien.
Ses textes, souvent teintés de mélancolie. et grâce à son approche minimaliste et émotionnelle, j’ai été séduit.

Les excursions de Chloé à la Réunion

Aujourd’hui, je vous présente Chloé.
Une passionnée de randonnée et tous les week-end avec son compagnon, ils partent à la découverte des sentiers de l’île de La Réunion pour vous faire découvrir les plus beaux paysages de notre île intense.
Du volcan au cirque de Salazie, de Mafate à Cilaos, des côtes sauvages de La Réunion aux plus hauts sommets de l’île, suivez ses aventures en vous abonnant à sa chaîne.

PITON DES NEIGES

SENTIER DE LA MARINE LANGEVIN | ST-JOSEPH

CASCADE DU CAP NOIR | CILAOS

LES TRÉSORS DES GORGES DU BRAS DE LA PLAINE

LES TRÉSORS DU LITTORAL DE ST-LEU

GÎTE ILET CHICOT | CILAOS

AU NEZ DE BŒUF

LES TRÉSORS DU LITTORAL DE LA GRANDE RAVINE

LES BASSINS DU BRAS DES LIANES

BASSINS ET CASCADES DE LA RIVIÈRE SUZANNE

 

Sa chaine Youtube
Sa page Facebook
Sa page Instagram

Cent euros de café offert avec une machine Nespresso Krups : une offre qui laisse un goût amer

L’idée de recevoir 100 € de crédit café pour l’achat d’une machine Krups Nespresso a de quoi faire rêver. Mais pour moi, cette promotion se transforme en complications techniques, frais supplémentaires et manque de réactivité.

Une offre mal conçue et frustrante

Sur le papier, tout semble simple : achetez une machine, enregistrez-la en ligne, et profitez de votre crédit. Pour ma part cela a été une autre histoire.

Un parcours semé d’embûches

L’idée initiale semblait simple : acheter une machine, enregistrer l’achat et recevoir un généreux crédit café. Pourtant, voici les obstacles que j’ai rencontré :

  • Problèmes techniques sur le site : impossible de finaliser l’enregistrement en raison de bugs ou d’erreurs.
  • Un service client payant : pour résoudre ces soucis, il faut appeler un numéro surtaxé (08), synonyme de frais supplémentaires.
  • Aucune solution immédiate : même après un appel de 12 minutes, la réponse obtenue est décevante : “Rappelez lundi.”

Une offre aux allures de piège

Au lieu de récompenser ses clients, Nespresso leur impose des démarches fastidieuses et coûteuses.
Pire, les solutions apportées par le service client sont inexistantes ou repoussent encore davantage l’échéance.
Pour moi, cette offre ressemble davantage à un piège qu’à une véritable opportunité.

Une leçon pour les marques

Proposer une promotion, c’est séduire ses clients.
Mais lorsque cette promotion devient source de stress et de dépenses imprévues, elle finit par nuire à l’image de la marque.
Entre les frais inutiles et un service client inefficace, cette offre Nespresso semble mal pensée et désavantage clairement les consommateurs.

Conclusion : une offre à éviter ?

Si vous pensiez profiter de cette promotion, réfléchissez bien.
Ce qui paraît être une bonne affaire pourrait vous coûter du temps, de l’argent et beaucoup de frustration.

À l’avenir, espérons que Nespresso proposera des offres réellement simples et avantageuses, sans pièges ni complications inutiles.

Ma reprise du dimanche : « Gran somey » de Tiloun par Zanmari Baré

Tiloun, un artiste que j’admire énormément. Je vous en avais déjà parlé ici et .
De son vrai nom Jean-Michel Ramoune, c’était un chanteur réunionnais profondément attaché à sa culture et à ses racines.

Né en 1967, il a marqué l’histoire du maloya grâce à sa voix douce et émotive, ainsi qu’à ses textes empreints de poésie et de spiritualité.
Tiloun a grandi dans le quartier de Saint-François à Saint-Denis, où il a été bercé par le maloya traditionnel, ce chant hérité des esclaves africains et malgaches.
Il a commencé sa carrière musicale tardivement, mais sa passion pour ce genre musical l’a conduit à devenir l’une de ses figures emblématiques.

Tiloun nous a quittés en juillet 2020 à l’âge de 53 ans, laissant derrière lui un immense vide.
Sa musique continue de résonner dans les cœurs, comme une ode à la résilience et à l’identité réunionnaise, tel « Gran somey » interprété ici par Zanmari Baré.

Bonne année 2025

L’année 2024 s’achève, et c’est l’occasion idéale de faire le point. Cette année a été marquée par des thématiques variées, des souvenirs personnels et des récits qui, je l’espère, vous ont touchés et captivés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette année, j’ai souhaité partager davantage mes souvenirs et mon lien profond avec l’île de La Réunion. Des articles comme ceux sur la Fèt Kaf, le Piton des Neiges, ou encore la cuisine au feu de bois ont permis d’évoquer des traditions, des paysages et des instants de vie qui façonnent l’identité réunionnaise.

Merci d’être présents, de lire, de partager et de faire vivre ce blog.
Ensemble, continuons à explorer, à nous étonner et à célébrer la vie dans toute sa richesse.
On commence l’année 2025 avec quelques chansons de la Réunion.
À très bientôt pour de nouveaux articles et surprises sur radiblog.fr !

Les cinq plus beaux feux d’artifice 2025

Le passage à l’année 2025 a été célébré à travers le monde avec des feux d’artifice spectaculaires et originaux. Voici ma sélection des cinq des plus remarquables :

1- Sydney, Australie : Feu d’artifice sur le Harbour Bridge

2 – Dubaï, Émirats arabes unis : Spectacle pyrotechnique au Burj Khalifa

3 – Paris, France : Spectacle à l’Arc de Triomphe

4 – Rio de Janeiro, Brésil : Feu d’artifice sur la plage de Copacabana

5 – Londres, Royaume-Uni : Feu d’artifice sur la Tamise

Et Vous?  Quel est votre classement?

Ma première crise de vertige au belvédère de Bois Court, à La Réunion

En 2017, lors d’une visite à La Réunion avec un couple d’amis, j’ai connu pour la toute première fois une drôle d’expérience.
L’endroit où tout s’est passé : le belvédère de Bois Court, un lieu emblématique offrant une vue spectaculaire sur l’Ilet de Grand-Bassin.
Mais ce qui devait être une expérience exaltante s’est transformé en un moment marquant pour moi.

J’avais pourtant visité ce site plus d’une dizaine de fois……
Je me suis approché de la rambarde pour mieux admirer le panorama.
Le gouffre sous mes pieds semblait infini, et je pouvais voir de minuscules maisons nichées autour du Grand-Bassin.
À ce moment précis, une sensation très bizarre s’est emparée de moi : mes jambes sont devenues molles, ma tête s’est mise à tourner.
Le vide m’aspirait, me tirant doucement vers lui.
Mon cœur battait très vite.

Plusieurs fois ce jour-là, je me suis avancé à nouveau, comme attiré par le vide, cherchant à comprendre cette sensation.
Chaque tentative ravivait ce mélange de fascination et de peur.

Le vertige.
Je n’avais jamais ressenti ça auparavant.
Une part de moi était fascinée par ce que je voyais, tandis qu’une autre était paralysée par la peur.
J’ai pris une profonde inspiration et me suis éloigné de quelques pas pour retrouver mon équilibre.
À mesure que je reprenais mes esprits, j’ai réalisé que cette expérience, bien qu’intimidante, avait quelque chose d’unique.

En 2022, j’y suis retourné.
Pourtant, cette fois-là, je n’ai pas osé monter sur le belvédère.
Le souvenir du vertige de 2017 était encore trop présent, et, par peur certainement, je me suis contenté d’admirer la vue à distance, avec un mélange de nostalgie.

Mais en août 2025, j’ai prévu de retenter l’expérience.
Cette fois, je veux affronter cette sensation et voir si je peux surmonter ce vertige qui m’a marqué si profondément.
Peut-être que le temps et la préparation mentale m’aideront à redécouvrir le belvédère.

Je n’oublierai jamais ce moment au belvédère de Bois Court, ni les émotions contrastées qui l’ont accompagné.
Aujourd’hui encore, quand je repense à cet instant, je me souviens de l’immensité de ce paysage et du frisson qu’il m’a procuré.

Avez-vous déjà ressenti le vertige dans un lieu marquant ?
Dites-le-moi votre histoire en commentaires.

Que sont-ils devenus?

Il fut un temps où Internet était un véritable terrain de jeu pour les amateurs d’écriture et les passionnés de partage.
Les blogs fleurissaient un peu partout, offrant une diversité incroyable de contenus.
Parmi eux, certains ont marqué mon quotidien.
Aujourd’hui disparus ou qui ne sont plus mises à jour, ils laissent un vide…..

Je me souviens d’espacerezo, qui publiait des astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir!!!!!
Je me souviens aussi de Stéphane Gillet, qui est inactif à ce jour et nous dit à bientôt!!!
Et encore d’Yeuxdebitch, qui n’est plus mise à jour depuis 2014. Ces dessins me manquent!!!!
Je me souviens d’Agoaye, qui avait une très belle écriture.
Puis il y avait aussi Vincent Abry et qui n’est plus en ligne.

Quand je repense à ces blogs, je réalise qu’ils m’ont certainement un peu influencé dans ma façon d’aborder les sujets et même de structurer radiblog.fr.
Certains de leurs créateurs sont peut-être passés à autre chose, mais leur travail méritait d’être salué.

Vous allez revenir?
Et vous, quels blogs avez-vous aimés, et qui vous manquent aujourd’hui?

Mon souvenir du dimanche : anisette et boudoirs

Une tradition réunionnaise pour bien commencer l’année.

À la Réunion, chaque début d’année s’accompagne de moments chaleureux où se mêlent traditions et convivialité.
Parmi elles, une habitude rassemble les familles autour d’une saveur particulière : celle de l’anisette Marie Brizard accompagnée de boudoirs.


Un rituel simple.

Boire de l’anisette, cette liqueur parfumée à l’anis, avec des boudoirs est bien plus qu’un plaisir gustatif. C’est un moment de partage et de souvenirs, souvent associé à la période des fêtes ou au début du mois de janvier.

Souvenirs en famille.

Chez nous, ce rituel était attendu avec impatience.

Ma mère préparait tout avec soin, et dès que tout était prêt, c’était un vrai rassemblement familial.

Tout le monde avait sa place autour de la table, des plus âgés aux plus jeunes.

Ce qui rendait ces moments encore plus spéciaux, c’était le petit privilège accordé aux enfants : une goutte d’anisette dans un verre d’eau. Rienqu’une goutte, mais pour nous, c’était une façon de nous inclure dans cette tradition des grands.

La douceur des boudoirs.

Les boudoirs, ces biscuits légers et croquants, trempés dans l’anisette. On rivalisait pour tremper le biscuit sans qu’il ne se casse dans le verre, tandis que les adultes échangeaient des anecdotes et des souvenirs.

Une tradition à préserver

Même si ce rituel tend à se raréfier, il reste vivant dans ma mémoire.

Et vous, cette tradition fait-elle encore partie de votre début d’année?

Marie Lyse Collet,  « figure du Cap Méchant » n’est plus

Il y a quelques années, je vous en avais parlé de cette femme, Elise,
Marie Lyse Colle n’est plus.
Elle nous a quitté ce jour.
C’est le maire de la commune de Saint Philippe, Rivière Olivier qui l’a annoncé sur sa page Facebook.

Pendant des décennies, elle a été une figure familière de nos paysages, présente sur les sites touristiques, notamment au Cap Méchant, où elle “prêchait sa bonne parole”.
Mais derrière ses mots, souvent énigmatiques, derrière ce visage marqué par le soleil, derrière cette silhouette arpentant inlassablement les lieux, il y avait une femme qui a traversé bien des épreuves.

https://www.facebook.com/olivier.riviere.391/posts/pfbid02z9uYtmhGTPQUzbD58KG9xQNpDxPBwZe3pExqVvmbPBafetjGAfntf6bJBQ3Bwi6Hl

Ce que j’ai lu dans la presse #1

Ce que j’ai lu dans la presse dernièrement….
Ces derniers jours, plusieurs articles de presse ont retenu mon attention.

Et vous, qu’est-ce qui vous a marqué dans l’actualité ces derniers temps ?

Paix, moyen âge et reggae

Une pincée d’actualités, une belle brochette de politiques, quelques autres personnages plus ou moins connus, et surtout une bonne grosse dose de second degré, de caricatures et d’absurde !
Bienvenue dans la réalité fictive de Davynimal.
Plus de vidéos et pour vous abonner, c’est par ici

Ma reprise du dimanche : « Tata yoyo » d’Annie Cordy par Jim Bauer

C’était il y a quelques mois déjà que j’avais vu cette prestation de Jim Bauer.
Magnifique non?

L’arrondi à l’euro supérieur : non merci, je choisis mes dons !

Depuis quelques années déjà, on nous propose dans de nombreux magasins d’arrondir nos paiements à l’euro supérieur, prétendument pour soutenir des associations.
Si cette initiative peut sembler noble, je m’y oppose fermement.
Pourquoi ?
Parce que je préfère choisir moi-même les causes que je soutiens, sans qu’on me force la main.
Je donne, mais à qui je veux!

La solidarité est un choix personnel, et j’estime qu’elle doit rester libre

Un engagement réfléchi : lorsque je décide de donner, c’est aux associations que j’ai choisies, après m’être renseigné sur leur travail et leur impact.
Un lien direct : donner directement à une association me permet de savoir précisément où va mon argent, sans intermédiaires.

Avec l’arrondi, ce choix est retiré.
On me demande de soutenir des associations dont je ne connais parfois même pas le nom, et encore moins la manière dont elles utilisent les fonds.

Outre l’absence de contrôle, plusieurs aspects de ce système me dérangent profondément

Un manque de transparence : très peu d’enseignes expliquent clairement à quelles associations les dons sont versés, ni quel pourcentage est réellement transmis.
Une stratégie marketing : cela donne une image solidaire aux entreprises, mais combien d’entre elles participent elles-mêmes ? Pourquoi ne doublent-elles pas les montants collectés pour montrer leur engagement ?

Dans de nombreux magasins, le système est conçu pour inciter, voire culpabiliser

Le bouton « vert pour valider » suggère qu’accepter est la bonne chose à faire.
Le bouton « rouge pour refuser » donne l’impression qu’on dit « non » à une cause noble.

Ce n’est pas à un écran ou à une entreprise de juger de ma générosité.
Donner, oui, mais pas au détriment de mes principes.

Je ne suis pas contre le don, bien au contraire, mais je refuse de laisser des enseignes imposer leur façon de faire. (D’ailleurs, c’est une des raisons pour laquelle je n’y vais que très rarement dans les grands hypermarchés……la petite boucherie, le légumier et le marché du coin me vont très bien)

Si elles veulent réellement soutenir des causes, pourquoi ne pas prélever une petite part de leurs propres bénéfices, au lieu de compter sur mes arrondis?

L’arrondi à l’euro supérieur peut sembler pratique, mais il dénature la vraie générosité.
Pour ma part, je continuerai à donner, mais à des associations que j’ai choisies, en toute connaissance de cause.

L’arrondi à l’euro supérieur : pourquoi j’ai arrêté d’accepter

Quand cette pratique a été introduite dans les magasins, je me suis laissé convaincre. Arrondir à l’euro supérieur pour aider des associations semblait être une bonne idée. Mais avec le temps, j’ai compris que ce système n’était pas aussi vertueux qu’il y paraît.

Aujourd’hui, je refuse systématiquement, et voici pourquoi

Comme beaucoup, je me suis dit que donner quelques centimes ne représentait rien pour moi, mais pouvait faire une différence pour une bonne cause. En quelques secondes, avec un simple clic sur le bouton vert, j’avais l’impression de faire un geste solidaire.

A qui profite vraiment mon don ?
Les associations ne sont pas toujours mentionnées clairement, et on ne sait pas exactement comment cet argent est utilisé.
Et les enseignes dans tout ça ?
Pourquoi demander aux clients de participer alors que les grandes entreprises ont des moyens bien plus conséquents pour soutenir des causes ?

Après quelques expériences, j’ai commencé à trouver ce système irritant

  1. A chaque passage en caisse, on vous pose la même question, et dire « non » peut finir par devenir gênant, surtout quand le caissier ou les autres clients vous observent.
  2. Une culpabilisation déguisée : avec un bouton vert pour accepter et rouge pour refuser, le système joue sur les émotions. Refuser donne presque l’impression d’être insensible, ce qui est injuste.
  3. Un manque de contrôle : je préfère choisir moi-même les associations que je soutiens, après m’être renseigné. Je veux savoir où va mon argent et comment il est utilisé.
    Désormais, c’est non systématique!!

Aujourd’hui, j’ai pris ma décision : je refuse systématiquement l’arrondi. Non pas par manque de générosité, mais parce que je veux rester maître de mes dons.

Je choisis mes causes : je donne directement à des associations que je connais et qui partagent mes valeurs.
Je refuse la pression sociale : je n’ai pas à justifier mon refus à un écran ou à un caissier.

Si les entreprises veulent vraiment promouvoir la solidarité, elles pourraient

Participer elles-mêmes en doublant ou triplant les sommes collectées.
Être plus transparentes sur les associations soutenues et l’utilisation des fonds.

Conclusion : solidarité, oui, mais pas comme ça

Je crois profondément en l’importance de soutenir les bonnes causes, mais pas au détriment de ma liberté de choix.
L’arrondi à l’euro supérieur, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, manque de transparence et repose sur une pression sociale subtile.

Et vous, avez-vous déjà accepté ce système ? Ou, comme moi, avez-vous décidé de le refuser ?