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Vieux articles

Je suis Paris.

Les barbares ont encore frappé.

je-suis-paris

 

Ma chanson du dimanche : « Imagine » de John Lennon.

No comment.

Vous pouvez aussi cliquer sur la photo ci dessous.

Attentats Paris : « Les fleurs et les bougies, c’est pour nous protéger ».

Que dire ou quoi écrire sur cette fameuse nuit du 13 novembre 2015.
La nouvelle m’est tombée en pleine gueule le samedi 14 à 08h00.
Le13 au soir, j’étais de sortie.
Je n’avais pas regardé les infos cette nuit là.
Comment ne pas avoir de peine en pensant à tous ses hommes et femmes assassinés, à leurs proches, à leurs familles.
Le samedi 14, comme la plupart des gens je pense, je suis resté devant les chaines de télévision, le cœur triste. Une journée à écouter les pleurs, à voir la tristesse, la colère et aussi le courage de certains.
bougies-attentats-paris-13-novembre-2015
Pour ma part, je me suis volontairement éloigné des informations télévisées pendant un peu plus de 24 heures.
Aujourd’hui 5 jours après ces évènements sanglants, difficile quand même de penser que des hommes puissent devenir des sanguinaires.
Je vous avoue que jusqu’à aujourd’hui, j’ai toujours en moi de la colère.
Pour apaiser ma souffrance et dissiper ma haine, j’ai préféré lire ou visionner des témoignages positifs, des lettres ouvertes……..

 


 

Mes images du jour.

snoopy-mourir-vivre

boite-bonheur

etiquettes-bonheur

meilleur-reste-vie

Ma chanson du dimanche : « Allô le monde » de Pauline.

J’ai toujours le cœur en peine.
J’essaie de fuir toutes ces vidéos ou images des médias conventionnels.
Elles nous poursuivent même sur les réseaux sociaux, mais moi je préfère prôner le beau, le bon, le meilleur au travers de ce modeste blog.
Je continuerai 🙂

« Aujourd’hui je suis Paris, je suis Beyrouth, je suis Bagdad, et bien plus….»
Joan Baez

Il paraît que les nouvelles ne sont pas si bonnes
Que le moral descend
Et que les forces t’abandonnent
J’entends
Tous les gens
Parler de tes histoires
Que l’avenir qui t’attend
Se joue sur le fil du rasoir

Qu’en est-il de l’amour ?
Des larmes et de la peine ?
De la vie de tous les jours ?
De la paix sereine ?

Allô le monde ?
Est-ce que tout va bien ?
Allô le monde ?
Je n’y comprends plus rien…
Allô le monde ?
Prends soin de toi…
Allô le monde ?
Ne te laisse pas aller… comme ça… comme ça…

Quel est le nom du mal dont tu subis la fièvre ?
Les étranges idéaux, les hystéries funèbres ?
Dis-moi ce que je peux faire de ma petite place,
Quels sont les actes et les mots qui peuvent t’aider à faire face ?

Pousser à la révolte,
Pour faire le premier pas,
Semer pour qu’on récolte,
Pour crier ton effroi…

allo-le-monde-Pauline
 
En ce dimanche, je suis à la campagne.
Bon dimanche et prenez soin de vous.
 

Bîngî.net.

Voilà, l’artiste Bîngî a son site Internet : http://bîngî.net/

Depuis son plus jeune âge il a été bercé par la musique traditionnelle congolaise avec son père trompettiste.

En 2010, le goût pour la création musicale prend forme et la fréquentation des scènes ouvertes de Slam et de Hip-Hop/R’n’b devient une source d’inspiration ne venant pas d’un circuit musical traditionnel.

En 2012, la rencontre avec Kynrou et Dana Key donnera naissance à son premier groupe « Flowave » et à l’enregistrement du premier clip vidéo « Faut que j’me barre ».  Lire la suite

Le site n’est pas totalement achevé, mais il évoluera au fil des prochains jours.
N’hésitez pas à vous enregistrer à la newsletter du site pour pouvoir suivre toute l’actualité de Bîngî.

Vous pouvez aussi suivre Bîngî via ses réseaux sociaux en cliquant sur les icônes ci dessous.

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Allez, on partage un maximum 🙂
 

Mes bonnes nouvelles du jour.

Ces dernières semaines, j’ai relevé quelques p’tites infos qu’on aimerait lire plus souvent.
Vous savez, ce genre d’infos qui nous font penser que peut être, je dis bien peut être, que c’est par toutes ces petites choses que notre société s’humanisera encore plus!!!!

generosite
@ Crédit photo

José Louiset est boulanger dans le centre Quimper.
Il distribue ses invendus adepuis près de deux ans.

En ces temps de crise et alors que près de 10 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, José Louiset ne veut plus voir ça.

« Jeter des aliments frais, encore bons, ça ne ressemble à rien quand on sait que certains crèvent la dalle… » Lire la suite

 

Le café suspendu? Vous connaissez?

C’est simple. Vous rentrez dans un bar. Vous commandez deux cafés.
Un pour vous et le deuxième pour un nécessiteux.
L’objectif de « Café Suspendu » est de penser aux autres.
Un café offert, un sourire rendu…..Lire la suite

 

           Siga Siga, une boutique où tout est gratuit
L’ouverture de la boutique date de juin 2015. Elle se trouve à Paris et est gérée par une association.

Pourquoi laisser  chez soi ou jeter des produits dont on ne se sert plus et qui  pourraient être utiles pour d’autres ?…..Lire la suite

 

L’association Les Enfants du Canal distribue des postes radio en cadeau de Noël aux SDF…

Avoir accès à l’information, à la culture et à la musique n’est pas aisé quand on est sans-abri.
Connaître la météo, suivre les informations surtout si on ne sait pas lire et qu’on ne peut pas profiter des journaux gratuits, écouter de la musique ou des émissions pour avoir une présence…

La radio, ça apporte quoi quand on est à la rue ? Lire la suite

N’oublions pas ceux et celles qui sont dans le besoin.
Pour ma part, je suis un enfoiré.

 

Vidéos : île de la Réunion

Trois petites vidéos des paysages de la Réunion :
ile-reunion-vu-du-ciel

  • La première vidéo est celle de Sébastien Lacour.
    Vidéo filmée à l’aide d’un drone.
    Les images sont magnifiques.
    Vous pouvez vous abonner à sa page Facebook ici.

  • La deuxième est celle de T. Aaron, filmée à l’anse des cascades.
    Un endroit que j’aime beaucoup.
  • La plage de l’Étang Salé.
    Une plage que je connais bien.
    Pour cause!!!! J’habitais à quatre kilomètres de là.
    Merci à T.Aaron pour cette vidéo.


 

Incroyable et magnifique Asie.

Il y a énormément de vidéos sur la plateforme Youtube.
Quelquefois, par hasard, on ne sait pas pourquoi on clique sur une et on s’émerveille.
 
Paysages-asiatiques
On la regarde jusqu’au bout, et d’un coup, on se dit que notre Terre est vraiment belle.
Les paysages sont magnifiques, la musique est douce et belle.
D’après les commentaires sous la vidéo, les pays traversés sont : Le Népal, La Thaïlande, La Corée du Sud, Le Sri Lanka, le Japon, la Chine, Le Cambodge, La Birmanie, l’Indonésie et le Vietnam.
Un vrai enchantement, alors partageons.
 

 

Hommage national du vendredi 27 novembre : discours de François Hollande.

liberte-egalite-fraternite
«Vendredi 13 novembre, ce jour que nous n’oublierons jamais, la France a été frappée lâchement, dans un acte de guerre organisé de loin et froidement exécuté.
 
Une horde d’assassins a tué 130 des nôtres et en a blessé des centaines, au nom d’une cause folle et d’un dieu trahi.

 
 
Aujourd’hui, la Nation tout entière, ses forces vives, pleurent les victimes. 130 noms, 130 vies arrachées, 130 destins fauchés, 130 rires que l’on n’entendra plus, 130 voix qui à jamais se sont tues. Ces femmes, ces hommes, incarnaient le bonheur de vivre. C’est parce qu’ils étaient la vie qu’ils ont été tués. C’est parce qu’ils étaient la France qu’ils ont été abattus. C’est parce qu’ils étaient la liberté qu’ils ont été massacrés.

En cet instant si grave et si douloureux, où la Nation fait corps avec elle-même, j’adresse en son nom notre compassion, notre affection, notre sollicitude, aux familles et aux proches réunis ici, dans ce même malheur. Des parents qui ne reverront plus leur enfant, des enfants qui grandiront sans leurs parents, des couples brisés par la perte de l’être aimé, des frères et des sœurs pour toujours séparés. 130 morts et tant de blessés marqués à jamais, marqués dans leur chair, traumatisés au plus profond d’eux-mêmes.

Alors, je veux dire simplement ces mots: la France sera à vos côtés. Nous rassemblerons nos forces pour apaiser les douleurs et après avoir enterré les morts, il nous reviendra de «réparer» les vivants.

A vous tous, je vous promets solennellement que la France mettra tout en œuvre pour détruire l’armée des fanatiques qui ont commis ces crimes, qu’elle agira sans répit pour protéger ses enfants. Je vous promets aussi que la France restera elle-même, telle que les disparus l’avaient aimée et telle qu’ils auraient voulu qu’elle demeure. Et s’il fallait une raison de nous tenir debout, aujourd’hui, une raison de nous battre pour nos principes, une raison de défendre cette République qui est notre bien commun, nous la trouverions dans leur souvenir.

Ces femmes, ces hommes, venaient de plus de 50 communes de France. De villes, de banlieues, de villages. Ils venaient aussi du monde, dix-sept pays portent aujourd’hui avec nous le deuil.

Ces femmes, ces hommes, en ce vendredi 13 novembre, étaient à Paris, une ville qui donne un manteau de lumière aux idées, une ville qui vibre le jour et qui brille la nuit. Ils étaient sur les terrasses des cafés, ces lieux de passage ouverts aux rencontres et aux idées. Ils partageaient un repas aux saveurs du monde, dans cette soirée où l’automne ne paraissait pas finir. Ils chantaient au Bataclan aux sons d’un groupe américain qui leur faisait l’amitié de se produire dans une salle qui depuis deux siècles incarne l’esprit de Paris.

Ces hommes, ces femmes, avaient tous les âges, mais la plupart avait moins de 35 ans. Ils étaient des enfants lors de la chute du mur de Berlin, ils n’avaient pas eu le temps de croire à la fin de l’Histoire, elle les avait déjà rattrapés quand survint le 11 septembre 2001. Ils avaient alors compris que le monde était guetté par de nouveaux périls. Les attentats du début de l’année les avaient bouleversés.

Beaucoup, je le sais, avaient tenu à manifester le 11 janvier, comme des millions de Français. Ils avaient dit leur refus de céder face à la menace terroriste. Ils savaient que la France n’est l’ennemie d’aucun peuple, que ses soldats se portent là où on les appelle, pour protéger les plus faibles et non pour assouvir une quelconque domination.

Ces femmes, ces hommes, étaient la jeunesse de France, la jeunesse d’un peuple libre, qui chérit la culture, la sienne, c’est-à-dire toutes les cultures.

Parmi les victimes du Bataclan, beaucoup avaient fait de la musique leur métier. C’est cette musique qui était insupportable aux terroristes. C’est cette harmonie qu’ils voulaient casser, briser. C’est cette joie qu’ils voulaient ensevelir dans le fracas de leurs bombes. Et bien, ils ne l’arrêteront pas. Et comme pour mieux leur répondre, nous multiplierons les chansons, les concerts, les spectacles; nous continuerons à aller dans les stades, et notamment au Stade si bien nommé, le Stade de France à Saint-Denis. Nous participerons aux grands rendez-vous sportifs, comme aux rencontres les plus modestes, et nous pourrons aussi communier dans les mêmes émotions, en faisant fi de nos différences, de nos origines, de nos couleurs, de nos convictions, de nos croyances, de nos confessions, car nous sommes une seule et même Nation, portés par les mêmes valeurs.

Que veulent les terroristes? Nous diviser, nous opposer, nous jeter les uns contre les autres. Je vous l’assure, ils échoueront. Ils ont le culte de la mort, mais nous, nous, nous avons l’amour, l’amour de la vie.

Ceux qui sont tombés le 13 novembre étaient la France, toute la France. Ils étaient étudiant, journaliste, enseignant, restaurateur, ingénieur, chauffeur, avocat, graphiste, architecte, mais aussi charpentier, serveur, photographe, fonctionnaire, publicitaire, vendeur, artiste. Ils étaient les métiers de la France, les talents du monde. Tous voulaient réussir, pour eux-mêmes, pour leur famille, pour leur pays. C’est en nous rappelant leur visage, leur nom, mais aussi leurs espoirs, leurs joies, leurs rêves anéantis, que nous agirons désormais.

Nous connaissons l’ennemi, c’est la haine; celle qui tue à Bamako, à Tunis, à Palmyre, à Copenhague, à Paris et qui a tué naguère à Londres ou à Madrid. L’ennemi, c’est le fanatisme qui veut soumettre l’homme à un ordre inhumain, c’est l’obscurantisme, c’est-à-dire un islam dévoyé qui renie le message de son livre sacré. Cet ennemi nous le vaincrons ensemble, avec nos forces, celles de la République, avec nos armes, celles de la démocratie, avec nos institutions, avec le droit. Dans ce combat, nous pouvons compter sur nos militaires, engagés sur des opérations difficiles, en Syrie, en Irak, au Sahel. Nous pouvons compter sur nos policiers, nos gendarmes, en lien avec la justice, qui se sont encore comportés de façon admirable pour mettre hors d’état de nuire les terroristes.

Nous pouvons compter sur le Parlement pour adopter toutes les mesures qu’appelle la défense des intérêts du pays, dans un esprit de concorde nationale, et dans le respect des libertés fondamentales. Et puis, et puis surtout, nous pouvons compter sur chaque Française et sur chaque Français pour faire preuve de vigilance, de résolution, d’humanité, de dignité.

Nous mènerons ce combat jusqu’au bout et nous le gagnerons en étant fidèles à l’idée même de la France. Quelle est-elle? Un art de vivre, une volonté farouche d’être ensemble, un attachement à la laïcité, une appartenance à la Nation, une confiance dans notre destin collectif.

Je vous l’affirme ici: nous ne changerons pas; nous serons unis, unis sur l’essentiel. Et je salue, ici, devant vous, familles, ces innombrables gestes de tant de Français anonymes qui se sont pressés sur les lieux des drames pour allumer une bougie, déposer un bouquet, laisser un message, apporter un dessin. Et si l’on cherche un mot pour qualifier cet élan, ce mot existe dans la devise de la République: c’est la fraternité.

Et que dire de la mobilisation de tous les services publics pour porter secours et assistance aux victimes, pour accompagner les survivants, pour soutenir les proches. Ces personnels de santé, admirables. Leur action dit aussi ce que nous sommes: un pays solidaire.

Tout ce qui s’est passé depuis le 13 novembre porte la marque de la gravité, de la conscience des défis qui se présentent à notre pays. Ceux qui sont tombés, le 13 novembre, incarnaient nos valeurs et notre devoir est plus que jamais de les faire vivre, ces valeurs.

Nous ne céderons ni à la peur, ni à la haine. Et si la colère nous saisit, nous la mettrons au service de la calme détermination à défendre la liberté au jour le jour, c’est-à-dire la volonté de faire de la France un grand pays, fier de son Histoire, de son mode vie, de sa culture, de son rayonnement, de son idéal universel, du respect et même de la ferveur que notre pays inspire au monde chaque fois qu’il est blessé.

Je n’oublie pas les images venues de la planète entière, célébrant dans le même mouvement, le sacrifice de ceux qui étaient tombés à Paris, comme si c’était le monde entier qui se couvrait de deuil.

Le patriotisme que nous voyons aujourd’hui se manifester, avec ces drapeaux fièrement arborés, ces rassemblements spontanés, ces foules qui chantent la Marseillaise; tout cela n’a rien à voir avec je ne sais quel instinct de revanche ou je ne sais quel rejet de l’autre. Ce patriotisme est le symbole de notre union, de notre inaltérable résistance face aux coups qui peuvent nous être portés, car la France garde intacte, malgré le drame, malgré le sang versé, ses principes d’espérance et de tolérance.

L’épreuve nous a tous meurtris, les familles d’abord, les Français, quelle que soit leur condition, leur confession, leurs origines. L’épreuve nous a tous meurtris, mais elle nous rendra plus fort. Je vais vous dire ma confiance dans la génération qui vient. Avant elle, d’autres générations ont connu, à la fleur de l‘âge, des évènements tragiques qui ont forgé leur identité. L’attaque du 13 novembre restera dans la mémoire de la jeunesse d’aujourd’hui comme une initiation terrible à la dureté du monde, mais aussi comme une invitation à l’affronter en inventant un nouvel engagement. Je sais que cette génération tiendra solidement le flambeau que nous lui transmettons.

Je suis sûr qu’elle aura le courage de prendre pleinement en main l’avenir de notre Nation. Le malheur qui a touché les martyrs du 13 novembre investit cette jeunesse de cette grande et noble tâche. La liberté ne demande pas à être vengée, mais à être servie. Je salue cette génération nouvelle. Elle a été frappée, elle n’est pas effrayée, elle est lucide et entreprenante, à l’image des innocents dont nous portons le deuil. Elle saura, j’en suis convaincu, faire preuve de grandeur. Elle vivra, elle vivra pleinement, au nom des morts que nous pleurons aujourd’hui.

Malgré les larmes, cette génération est aujourd’hui devenue le visage de la France.

Vive la République et vive la France.»

Source

Ma chanson du dimanche : « Ma ville » de Francis Cabrel.

J’ai toujours adoré Cabrel.
J’ai l’impression de le connaitre depuis toujours.
La chanson « Ma ville », je la connais depuis…..euh….très longtemps.
En 1999, juillet 1999 en la ré-intendant ce jour là, j’ai eu un gros coup de blues.

cabrel-ma-ville

Je vous raconte.
03 juillet 1999 exactement.
Je suis de retour à la Réunion pour mes vacances après 14 ans d’absence.
Mes deux enfants doivent me rejoindre au mois d’août.
Leur mère et moi sommes séparés depuis 5 mois.

Le 04 juillet 1999 donc je me promène à pieds dans la ville de mon enfance.
Personne ou presque ne me reconnait alors que j’ai vécu dans cette ville jusqu’à l’âge de 19 ans.
Faut dire que physiquement j’avais un peu changé 🙂

Donc le 05 juillet au matin.
Y a une petite radio dans la salle de bains de ma mère.
Je l’allume.
De la pub, blablablabla…
Puis cette chanson de Cabrel.
Cette chanson, elle n’a jamais eue un retentissement aussi fort que ce jour là.
Depuis, quand je l’entends, je repense à ce lundi 05 juillet 1999.


La rue est sale
On y chante plus, on s’y croise à peine
Ceux qui s’y promènent y parlent si bas
Que la rue est morte
Rue d’usine
Toute tachée d’huile tombée des machines
Je ne vois plus d’enfant jouer dans vos rigoles
La rue est folle

Comme un mendiant, je me promène
Personne pour me dire bonjour
Je suis un étranger ma mère
Dans la ville où j’ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n’est pas question d’amitié
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville où je suis né

Ma ville est triste
Cent mille personnes et personne n’existe
Des courants de monnaie traînent mille fantômes
Comme un seul homme
Ma ville est grise
Des couloirs de béton aux porches des églises
Tout deviendra si noir qu’il n’y a plus de remède
Ma ville est laide

Comme un mendiant, je me promène
Personne pour me dire bonjour
Je suis un étranger ma mère
Dans la ville où j’ai vu le jour
Comme un voleur, ils me regardent
Il n’est plus question d’amitié
Leurs sourires ils se les gardent
Dans cette ville où je suis né

Mais demain, demain si tu veux
Tout demain, demain tous les deux
On refera ma ville, ma ville
Et demain, demain si tu veux
Tout demain, tout demain tous les deux
On refera ma ville….

 

Résultat du concours : gagnez une bouteille de rhum arrangé Charette.

Voilà, le dernier concours est terminé depuis le dimanche 29 novembre à 23h59..
Le lot à gagner était une bouteille de rhum arrangé Charette.

Il y a eu 36 participants pour gagner ce fameux breuvage et bien sûr un seul gagnant.
Le tirage au sort a eu lieu aujourd’hui même à 20h00 en utilisant le plugin «Comment Contest».
Ce plugin WordPress permet d’effectuer un tirage aléatoire sur les commentaires.

gagnant-bouteille-rhum

 

Le gagnant est donc MathieuGZ.

Il a participé le 16 novembre.
Il a une semaine pour répondre à mon mail et me donner une adresse postale pour recevoir cette liqueur.

Bonne soirée à vous tous, et désolé pour les autres.
Cela sera certainement pour un prochain concours, et vous pourrez retenter votre chance.

Bonne semaine à tous!!!!!!!!!!

L’histoire de Renaud Séchan.

Que voulez vous?
Quand on aime, on a envie de tout partager 🙂
 
Lecteur Dailymotion

RENAUD
Lecteur perso.

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Images en vrac N° 34


 

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