1994 : Quand Firmin Viry et sa famille faisaient vibrer le maloya
“La citation du jour : La patience est une vertu. Mais la flemme, c’est un mode de vie.”
Ah, le maloya… ce rythme qui frappe comme le cœur d’une île, chaud, profond et indomptable. Et parmi ses passeurs historiques, il y a Firmin Viry, celui qui a su garder les traditions vivantes, dans le respect des ancêtres et la joie de danser.
En 1994, Firmin Viry était au sommet de sa force, entouré de sa famille et de proches :
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Firmin Viry
- Maxime Laope
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Simon Lagarrigue
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Henri Lagarrigue
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Alain Lagarrigue
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Christiane Lagarrigue
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Daisy Viry
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Mylène Viry
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Jacky Viry
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Annie-Claude Viry
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Pascaline Viry
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Jean-Guibert Viry

Moi, je suis un Yab, et chaque fois que j’écoute cette musique, je frissonne. C’est plus qu’un rythme : c’est un choc émotionnel, un rappel que la Réunion vit dans chaque note, chaque battement, chaque souffle.
Chaque percussion, chaque chant, est un fil qui relie les générations. Le maloya n’est pas juste de la musique : c’est un patrimoine, une mémoire, une célébration de l’identité réunionnaise.
Alors, si vous avez cinq minutes devant vous, cliquez sur la vidéo et laissez-vous emporter par ces vibrations. Écoutez le roulèr, tapez du pied, ressentez le kayamb. Fermez les yeux, et vous entendrez l’île elle-même chanter avec eux.
Parce que le maloya, avec Firmin Viry et sa troupe, ce n’est jamais seulement de la musique… c’est la Réunion qui parle, qui rit, qui pleure, et qui danse.
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