Le jour où je suis né

“La citation du jour : Pourquoi contredire une femme ? Il est tellement plus simple d’attendre qu’elle change d’avis !”

Qui suis-je ? Un bout de mon histoire…

À travers ce blog, nombreux sont ceux d’entre vous qui me demandent :
« Mais qui es-tu vraiment ? »
« Comment as-tu fait pour en arriver là ? »
Je ne vous cache pas que répondre à ces questions n’est pas chose facile. Parler de soi, c’est souvent comme ouvrir un vieux livre dont on ne sait jamais si les pages vont faire sourire, pleurer, ou simplement réfléchir.

Mais aujourd’hui, je me lance.

Un parcours de combattant

Pour en arriver là où je suis aujourd’hui — cet endroit un peu flou entre sérénité retrouvée, goût des choses simples, et envie de partager — j’ai dû franchir pas mal d’obstacles. La vie m’a parfois malmené, parfois porté à bout de bras. Et si mon parcours peut ressembler à celui d’un combattant, c’est que chaque étape m’a appris quelque chose.
La patience. La résilience. Et surtout, l’amour de la vie.

Tout a commencé un jeudi…

Tout a commencé un certain 19 mai 1966.
Un jeudi. Le jour de la Saint Yves, mais pourtant, mes parents ont choisi un autre prénom. Et c’est bien ainsi.

Ce jour-là, la lune était nouvelle. Elle présentait sa face obscure, parfaitement alignée au soleil. On dit que la nouvelle lune influence nos humeurs, nos émotions, nos relations.
Qu’elle marque les renouveaux, les intentions profondes qu’on lance dans l’univers.
Dans les temps anciens, c’était un jour de rassemblement, de festin, et les vœux formulés ce jour-là avaient, paraît-il, plus de chance de se réaliser.

Alors peut-être que quelqu’un, ce soir-là, quelque part, a fait un vœu.
Peut-être que ma venue au monde était déjà une réponse.

Une époque, une ambiance

1966, c’était aussi l’année où les Pink Floyd faisaient leurs premiers pas dans un Londres en ébullition musicale.
Françoise Hardy chantait « La maison où j’ai grandi », et moi, je faisais mes tout premiers souffles dans un monde qui allait changer à grande vitesse.

J’aurais aimé vous dire que je me souviens de ce moment précis.
Mais évidemment, tout est flou. Je sais juste que c’était trois heures trente du matin, et qu’à cet instant, mon histoire commençait.

Depuis, les pages ont défilé.
Certaines furent noircies d’épreuves, d’autres d’espoir et de belles rencontres.
Je ne suis pas arrivé ici par hasard, ni sans cicatrices.
Mais si ce blog existe, si vous êtes là à me lire, c’est que le chemin en valait la peine.

Et si vous voulez en savoir plus… il suffit de me suivre, ici, au fil des articles et là.