à Maxime, Patrick, Michel, Christian, Paul, Geneviève, Thérèse, Jean, Claude et tous les autres……
Le jour se lève
La vie reprend
Faut remplir la gamelle
Mais tout en souriant
Les proches appellent
Ils prennent des nouvelles
Mon sourire leur ment
Rien n’est plus comme avant
Je fais semblant
Au milieu des gens
Je chante, je danse mais quand arrive la nuit
Ton absence et ton fou rire
Font trop de bruit impossible de dormir
Donc je roule, roule, roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
L’arme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu’au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l’air
En insultant ta foutue maladie
On pense à toi
On pleure parfois
On s’demande pourquoi
Mais ainsi va la vie
Oh moins cette fois ta douleur n’est plus là
Tu reposes en paix, on croit au paradis
Tu nous voulais fort
Tu nous voulais heureux
Donc j’ai repris le sport
Je fais de mon mieux
Mais la nuit ton souvenir
Fais trop de bruit
Impossible de dormir
Donc je roule, roule, roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
L’arme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu’au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l’air
En insultant ta foutue maladie
Rien n’sera plus comme avant
Il est tant d’aller de l’avant
Il est tant de dire au revoir
Mais sur le quai de l’insomnie
Tout les train me mène à lui
Donc comme tout les soirs
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
L’arme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu’au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l’air
En insultant ta foutue maladie
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
L’arme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu’au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l’air
En insultant ta foutue maladie
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