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ToggleQue sont-ils devenus?
Il fut un temps où Internet était un véritable terrain de jeu pour les amateurs d’écriture et les passionnés de partage.
Les blogs fleurissaient un peu partout, offrant une diversité incroyable de contenus.
Parmi eux, certains ont marqué mon quotidien.
Aujourd’hui disparus ou qui ne sont plus mises à jour, ils laissent un vide…..

Je me souviens d’espacerezo, qui publiait des astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir!!!!!
Je me souviens aussi de Stéphane Gillet, qui est inactif à ce jour et nous dit à bientôt!!!
Et encore d’Yeuxdebitch, qui n’est plus mise à jour depuis 2014. Ces dessins me manquent!!!!
Je me souviens d’Agoaye, qui avait une très belle écriture.
Puis il y avait aussi Vincent Abry et qui n’est plus en ligne.
Quand je repense à ces blogs, je réalise qu’ils m’ont certainement un peu influencé dans ma façon d’aborder les sujets et même de structurer radiblog.fr.
Certains de leurs créateurs sont peut-être passés à autre chose, mais leur travail méritait d’être salué.
Vous allez revenir?
Et vous, quels blogs avez-vous aimés, et qui vous manquent aujourd’hui?
Ma première crise de vertige au belvédère de Bois Court, à La Réunion
En 2017, lors d’une visite à La Réunion avec un couple d’amis, j’ai connu pour la toute première fois une drôle d’expérience.
L’endroit où tout s’est passé : le belvédère de Bois Court, un lieu emblématique offrant une vue spectaculaire sur l’Ilet de Grand-Bassin.
Mais ce qui devait être une expérience exaltante s’est transformé en un moment marquant pour moi.
J’avais pourtant visité ce site plus d’une dizaine de fois……
Je me suis approché de la rambarde pour mieux admirer le panorama.
Le gouffre sous mes pieds semblait infini, et je pouvais voir de minuscules maisons nichées autour du Grand-Bassin.
À ce moment précis, une sensation très bizarre s’est emparée de moi : mes jambes sont devenues molles, ma tête s’est mise à tourner.
Le vide m’aspirait, me tirant doucement vers lui.
Mon cœur battait très vite.
Plusieurs fois ce jour-là, je me suis avancé à nouveau, comme attiré par le vide, cherchant à comprendre cette sensation.
Chaque tentative ravivait ce mélange de fascination et de peur.

Le vertige.
Je n’avais jamais ressenti ça auparavant.
Une part de moi était fascinée par ce que je voyais, tandis qu’une autre était paralysée par la peur.
J’ai pris une profonde inspiration et me suis éloigné de quelques pas pour retrouver mon équilibre.
À mesure que je reprenais mes esprits, j’ai réalisé que cette expérience, bien qu’intimidante, avait quelque chose d’unique.
En 2022, j’y suis retourné.
Pourtant, cette fois-là, je n’ai pas osé monter sur le belvédère.
Le souvenir du vertige de 2017 était encore trop présent, et, par peur certainement, je me suis contenté d’admirer la vue à distance, avec un mélange de nostalgie.
Mais en août 2025, j’ai prévu de retenter l’expérience.
Cette fois, je veux affronter cette sensation et voir si je peux surmonter ce vertige qui m’a marqué si profondément.
Peut-être que le temps et la préparation mentale m’aideront à redécouvrir le belvédère.
Je n’oublierai jamais ce moment au belvédère de Bois Court, ni les émotions contrastées qui l’ont accompagné.
Aujourd’hui encore, quand je repense à cet instant, je me souviens de l’immensité de ce paysage et du frisson qu’il m’a procuré.
Avez-vous déjà ressenti le vertige dans un lieu marquant ?
Dites-le-moi votre histoire en commentaires.
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Mon souvenir du dimanche : anisette et boudoirs
Une tradition réunionnaise pour bien commencer l’année.
À la Réunion, chaque début d’année s’accompagne de moments chaleureux où se mêlent traditions et convivialité.
Parmi elles, une habitude rassemble les familles autour d’une saveur particulière : celle de l’anisette Marie Brizard accompagnée de boudoirs.


Un rituel simple.
Boire de l’anisette, cette liqueur parfumée à l’anis, avec des boudoirs est bien plus qu’un plaisir gustatif. C’est un moment de partage et de souvenirs, souvent associé à la période des fêtes ou au début du mois de janvier.
Souvenirs en famille.
Chez nous, ce rituel était attendu avec impatience.
Ma mère préparait tout avec soin, et dès que tout était prêt, c’était un vrai rassemblement familial.
Tout le monde avait sa place autour de la table, des plus âgés aux plus jeunes.
Ce qui rendait ces moments encore plus spéciaux, c’était le petit privilège accordé aux enfants : une goutte d’anisette dans un verre d’eau. Rienqu’une goutte, mais pour nous, c’était une façon de nous inclure dans cette tradition des grands.
La douceur des boudoirs.
Les boudoirs, ces biscuits légers et croquants, trempés dans l’anisette. On rivalisait pour tremper le biscuit sans qu’il ne se casse dans le verre, tandis que les adultes échangeaient des anecdotes et des souvenirs.
Une tradition à préserver
Même si ce rituel tend à se raréfier, il reste vivant dans ma mémoire.
Et vous, cette tradition fait-elle encore partie de votre début d’année?
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Marie Lyse Collet, « figure du Cap Méchant » n’est plus
Il y a quelques années, je vous en avais parlé de cette femme, Elise,
Marie Lyse Colle n’est plus.
Elle nous a quitté ce jour.
C’est le maire de la commune de Saint Philippe, Rivière Olivier qui l’a annoncé sur sa page Facebook.
Pendant des décennies, elle a été une figure familière de nos paysages, présente sur les sites touristiques, notamment au Cap Méchant, où elle “prêchait sa bonne parole”.
Mais derrière ses mots, souvent énigmatiques, derrière ce visage marqué par le soleil, derrière cette silhouette arpentant inlassablement les lieux, il y avait une femme qui a traversé bien des épreuves.
L’arrondi à l’euro supérieur : non merci, je choisis mes dons !
Depuis quelques années déjà, on nous propose dans de nombreux magasins d’arrondir nos paiements à l’euro supérieur, prétendument pour soutenir des associations.
Si cette initiative peut sembler noble, je m’y oppose fermement.
Pourquoi ?
Parce que je préfère choisir moi-même les causes que je soutiens, sans qu’on me force la main.
Je donne, mais à qui je veux!
La solidarité est un choix personnel, et j’estime qu’elle doit rester libre
Un engagement réfléchi : lorsque je décide de donner, c’est aux associations que j’ai choisies, après m’être renseigné sur leur travail et leur impact.
Un lien direct : donner directement à une association me permet de savoir précisément où va mon argent, sans intermédiaires.
Avec l’arrondi, ce choix est retiré.
On me demande de soutenir des associations dont je ne connais parfois même pas le nom, et encore moins la manière dont elles utilisent les fonds.
Outre l’absence de contrôle, plusieurs aspects de ce système me dérangent profondément
Un manque de transparence : très peu d’enseignes expliquent clairement à quelles associations les dons sont versés, ni quel pourcentage est réellement transmis.
Une stratégie marketing : cela donne une image solidaire aux entreprises, mais combien d’entre elles participent elles-mêmes ? Pourquoi ne doublent-elles pas les montants collectés pour montrer leur engagement ?

Dans de nombreux magasins, le système est conçu pour inciter, voire culpabiliser
Le bouton “vert pour valider” suggère qu’accepter est la bonne chose à faire.
Le bouton “rouge pour refuser” donne l’impression qu’on dit “non” à une cause noble.
Ce n’est pas à un écran ou à une entreprise de juger de ma générosité.
Donner, oui, mais pas au détriment de mes principes.
Je ne suis pas contre le don, bien au contraire, mais je refuse de laisser des enseignes imposer leur façon de faire. (D’ailleurs, c’est une des raisons pour laquelle je n’y vais que très rarement dans les grands hypermarchés……la petite boucherie, le légumier et le marché du coin me vont très bien)
Si elles veulent réellement soutenir des causes, pourquoi ne pas prélever une petite part de leurs propres bénéfices, au lieu de compter sur mes arrondis?
L’arrondi à l’euro supérieur peut sembler pratique, mais il dénature la vraie générosité.
Pour ma part, je continuerai à donner, mais à des associations que j’ai choisies, en toute connaissance de cause.
L’arrondi à l’euro supérieur : pourquoi j’ai arrêté d’accepter
Quand cette pratique a été introduite dans les magasins, je me suis laissé convaincre. Arrondir à l’euro supérieur pour aider des associations semblait être une bonne idée. Mais avec le temps, j’ai compris que ce système n’était pas aussi vertueux qu’il y paraît.
Aujourd’hui, je refuse systématiquement, et voici pourquoi
Comme beaucoup, je me suis dit que donner quelques centimes ne représentait rien pour moi, mais pouvait faire une différence pour une bonne cause. En quelques secondes, avec un simple clic sur le bouton vert, j’avais l’impression de faire un geste solidaire.
A qui profite vraiment mon don ?
Les associations ne sont pas toujours mentionnées clairement, et on ne sait pas exactement comment cet argent est utilisé.
Et les enseignes dans tout ça ?
Pourquoi demander aux clients de participer alors que les grandes entreprises ont des moyens bien plus conséquents pour soutenir des causes ?
Après quelques expériences, j’ai commencé à trouver ce système irritant
- A chaque passage en caisse, on vous pose la même question, et dire “non” peut finir par devenir gênant, surtout quand le caissier ou les autres clients vous observent.
- Une culpabilisation déguisée : avec un bouton vert pour accepter et rouge pour refuser, le système joue sur les émotions. Refuser donne presque l’impression d’être insensible, ce qui est injuste.
- Un manque de contrôle : je préfère choisir moi-même les associations que je soutiens, après m’être renseigné. Je veux savoir où va mon argent et comment il est utilisé.
Désormais, c’est non systématique!!
Aujourd’hui, j’ai pris ma décision : je refuse systématiquement l’arrondi. Non pas par manque de générosité, mais parce que je veux rester maître de mes dons.
Je choisis mes causes : je donne directement à des associations que je connais et qui partagent mes valeurs.
Je refuse la pression sociale : je n’ai pas à justifier mon refus à un écran ou à un caissier.
Si les entreprises veulent vraiment promouvoir la solidarité, elles pourraient
Participer elles-mêmes en doublant ou triplant les sommes collectées.
Être plus transparentes sur les associations soutenues et l’utilisation des fonds.
Conclusion : solidarité, oui, mais pas comme ça
Je crois profondément en l’importance de soutenir les bonnes causes, mais pas au détriment de ma liberté de choix.
L’arrondi à l’euro supérieur, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, manque de transparence et repose sur une pression sociale subtile.
Et vous, avez-vous déjà accepté ce système ? Ou, comme moi, avez-vous décidé de le refuser ?
Ce que j’ai lu dans la presse #1
Ce que j’ai lu dans la presse dernièrement….
Ces derniers jours, plusieurs articles de presse ont retenu mon attention.

- J’ai été frappé par les premières images des Massaco, peuple d’Amazonie « non contacté ».
- Un autre sujet m’a interpellé : Le président du Sénat, Gérard Larcher, a commandé un fauteuil sur mesure pour présider les séances, au coût controversé de 40 000 €. L’ancien siège, usé malgré plusieurs réparations, nécessitait un remplacement.
- Il y aussi, la mort de Jean-Luc Petitrenaud. J’aimais bien regarder « les escapades de Petitrenaud » et « carte postale gourmand », c’était le samedi si mes souvenirs sont bons. Sa gouaille et sa bonne humeur me manque déjà.
- Des gens se sont rassemblés pour célébrer la mort de Jean-Marie Lepen. C’est honteux. Moi je pense à ses enfants et toute sa proche famille.
- Il y aussi cet article dans « La Dépêche »soulignant que les français vont de moins en moins dans les grandes surfaces pour faire leurs courses. Pour ma part, j’ai pris aussi cette décision depuis plus d’une douzaine d’années.
- Il pourrait ne rester qu’un seul enfant de moins de 14 ans en 2720, selon une étude au Japon selon le professeur Hiroshi Yoshida!
Et vous, qu’est-ce qui vous a marqué dans l’actualité ces derniers temps ?
Paix, moyen âge et reggae
Une pincée d’actualités, une belle brochette de politiques, quelques autres personnages plus ou moins connus, et surtout une bonne grosse dose de second degré, de caricatures et d’absurde !
Bienvenue dans la réalité fictive de Davynimal.
Plus de vidéos et pour vous abonner, c’est par ici
Nuits de cyclone à la Réunion : entre silence et tempête
En général, cela commence presque toujours comme le message ci-dessous.
De décembre à mars, c’est l’été à la Réunion et celle aussi des cyclones.
Ce mardi 25/02/2025, une dépression tropicale se forme actuellement à l’Est de Madagascar, à un peu plus de 500 km au Nord-ouest de La Réunion, son nom Garance.
Sa naissance et son évolution rapide à proximité de La Réunion rendent la situation particulièrement évolutive et incertaine.
Sa trajectoire est prévue entre La Réunion et Maurice entre mercredi soir et vendredi prochain, mais reste à confirmer.
Cette dépression pourrait s’intensifier en tempête tropicale d’ici mardi soir ou mercredi. Une évolution en cyclone tropical est possible mercredi ou jeudi. L’île Maurice a déclenché également ce lundi un avertissement de classe 1 pour inviter la population à prendre «les précautions préliminaires».
Source
Lorsque je vivais encore sur l’île, je me rappelle bien de ce genre de message à la radio.
La nuit avant l’arrivée du cyclone, le silence précède la tempête répétait les anciens du village.
Il y a des nuits qu’on n’oublie pas.
Celles qui précèdent l’arrivée d’un cyclone en font partie.
À La Réunion, ces moments sont gravés dans ma mémoire, mêlant attente et appréhension.
Un calme étrange
La veille d’un cyclone, tout semble différent.
Le vent se tait.
Les oiseaux disparaissent.
L’air devient lourd.
Ce silence inhabituel enveloppe l’île, et la nuit semble suspendue dans le temps.
Les volets et portes sont fermés, les réserves d’eau, de bougies, de piles et de nourriture sont là.
La radio, notre seul lien avec l’extérieur, diffusait des bulletins météo à intervalles réguliers.
« Le cyclone est à 300 kilomètres des côtes. Préparez-vous. » Ces mots résonnent encore…..
Mais peu à peu, le silence se fissure.
Un bruit sourd monte au loin, comme un grondement dans la nuit.
Les premières rafales commencent à souffler.
À chaque coup de vent, je sentais la case frémir avec parfois du bruit de la tôle sur le toit causé par la pluie ou d’objets divers.
Je n’arrivais pas à trouvé le sommeil.
Les adultes, eux, tentaient de masquer leur inquiétude, mais je les voyais jeter un œil anxieux par les interstices des volets.
Ma mère commençait à égrener son chapelet en priant. Elle à connu de grands cyclones qui ont été très dévastateurs.
Chaque bruit devenait une alerte.
L’imagination faisait le reste.
Le cyclone dont je vous parle c’est Hyacinthe en janvier 1980.

Cette nuit-là, allongé dans le noir, la peur commençait à m’envahir.
Comment décrire cette sensation, si typique des cyclones ?
Une partie de moi voulait que le vent hurle, que la pluie s’abatte, comme pour briser cette attente insupportable. L’autre partie espérait que tout cela n’arrive pas, qu’il passe au large et nous épargne.
Cette nuit de janvier 1980, la case était étrangement silencieuse.
Même les chiens, d’habitude qu’on entendait aboyer au moindre bruit, semblaient comprendre que quelque chose de grave se préparait.
Puis, il y avait les autres animaux.
Les quelques poules et canards, qu’ont mettait à l’approche des cyclones dans la salle de bains.
On ne les entendait pas non plus.
Quelquefois, il y avait aussi des invités surprises. Par exemple, ce petit lézard qu’on appelle margouillat à la Réunion, immobile sur l’évier dans la cuisine.
Au matin, après la fureur du vent et de la pluie, venait le temps du bilan.
On sortait prudemment, observant les dégâts, cherchant du regard les visages familiers des voisins.
Le silence d’après-tempête était aussi saisissant que celui de la veille, mais il portait une autre émotion : celle du soulagement.
Les arbres tordus, les branches cassées par le vent, portent les cicatrices du cyclone, et au pied de ces arbres malmenés, le sol se couvre de trésors inattendus : des fruits tombés par dizaines jonchaient le sol.
Il y avait des mangues, des bananes, des avocats et autres….C’était les premières victimes de la colère du ciel.
Dans ce chaos naturel, il y avait aussi un étrange sentiment de renouveau.
L’île, meurtrie mais debout, reprenait vie.
On réparait les toits, on ramassait les branches cassées, et surtout, on racontait.
Chaque cyclone laissait son lot d’histoires que l’on se transmettait, génération après génération.
Ces nuits-là, d’attente et de peur, sont gravées en moi, et me rappelle toujours que la nature est toujours souveraine et indomptable.
Pourquoi je quitte X (Twitter)
Depuis quelque temps, ma réflexion mûrissait.
Ce réseau social, autrefois enrichissant et dynamique même si je n’étais un très grand utilisateur, est devenu au fil des ans un lieu où la violence verbale, les polémiques incessantes et la désinformation prennent trop souvent le dessus sur le dialogue et le partage.
J’ai apprécié Twitter pour la diversité des opinions et la richesse des échanges qu’il permettait.
Mais depuis, la plateforme semble dominée par des débats stériles, des attaques personnelles et une agressivité permanente.
Peu importe le sujet abordé, il y a toujours une personne pour insulter, déformer les propos ou imposer son point de vue de manière brutale.
Depuis les récents changements de direction, j’ai trouvé que les contenus problématiques semblent se multiplier.
Un espace qui était censé favoriser la communication est devenu une arène où règnent le bruit et la fureur.
J’ai donc pris la décision de me désinscrire.
Plutôt que de perdre du temps sur un réseau qui ne m’apporte plus rien de positif, je préfère consacrer mon énergie à des espaces plus apaisés, où l’échange reste courtois et respectueux.

Je ne dis pas que tous les réseaux sociaux sont néfastes, mais il est important de choisir ceux qui me corresponde et qui m’apporte du positif.
Et maintenant ?
À ceux qui me suivaient sur l’oiseau bleu, je vous invite à continuer l’échange ici, sur Radiblog.fr.
Je resterai actif sur mon blog et d’autres plateformes où les discussions sont plus saines et enrichissantes.
Parfois, savoir dire stop est une forme de liberté.
Aujourd’hui, je choisis cette liberté.
« Braconniers » : Une plongée au cœur de l’Afrique
Le théâtre a cette capacité unique de nous faire voyager, de nous confronter à des réalités éloignées et de nous toucher en plein cœur.
Braconniers, une pièce d’Éric Bouvron et Benjamin Penamaria, nous emmène en Afrique, sur les traces d’un homme déchiré entre justice et vengeance, au cœur d’une terre marquée par les conflits et la beauté sauvage.
Une histoire poignante
L’intrigue suit Paul Wright, un aventurier blanc d’Afrique et fervent défenseur des animaux.
Lorsque son rhinocéros adopté, Humba, est abattu par des braconniers, son monde bascule.
Sa quête de justice le met face à James Ngobo, un homme noir africain en quête de vérité après le meurtre de son propre fils.
Cette confrontation met en lumière des thématiques puissantes telles que la vengeance, la rédemption et la cohabitation interculturelle.
Sur scène, les comédiens ne se contentent pas d’interpréter des rôles : ils incarnent la savane africaine elle-même, imitant les animaux et les sons de la nature.
La musique, omniprésente, amplifie l’émotion et m’a transportésur les pistes d’Afrique.
C’ est aussi une réflexion sur notre rapport à la nature et à l’autre.
Elle interroge sur la notion de frontière, de transmission et d’héritage.
La pièce nous rappelle que la justice n’est pas toujours synonyme de vengeance et que la compréhension mutuelle est souvent le seul chemin vers la paix.
Présentée au Festival d’Avignon en 2023, la pièce continue sa tournée en 2025.
Je l’ai vu samedi soir. Un spectacle à voir absolument !
Renaud, une vie en chansons : entre admiration et nostalgie
Renaud a toujours occupé une place particulière dans mon cœur.
Ses textes ciselés, sa voix rocailleuse et son regard tendre sur la société ont fait de lui un artiste unique.
J’ai eu la chance de le voir en concert deux fois : en 1987, à l’apogée de sa carrière, et en 2016, lors de son grand retour.
Aujourd’hui, en 2025, le voir encore sur scène suscite en moi un mélange d’admiration et de tristesse.
Le concert de 1988 : visage pâle attaquer Zénith.
En 1988, Renaud était au sommet de son art.
Son album Mistral Gagnant venait de sortir et ses chansons faisaient vibrer toute une génération.
Le voir sur scène était une expérience incroyable. Il incarnait parfaitement cette âme rebelle, tendre et engagée qui le caractérisait.
Je me souviens de l’effervescence dans la salle, des milliers de voix chantant en chœur.
Dès que le vent soufflera, la mère à Titi, me jette pas et bien sûr, Mistral Gagnant…………J’avais 21 ans!!!
Renaud avait cette énergie communicative, ce charisme naturel qui captait l’attention. C’était un moment magique, un concert gravé à jamais dans ma mémoire.
Le concert de 2016 : le retour du phénix toujours au Zénith.
J’avais fait un petit résumé à l’époque.
A lire ici.
Aujourd’hui, Renaud continue d’exister dans le paysage musical, mais son état de santé m’inquiète.
Le voir dans quelques extraits en concert est à la fois une joie et une douleur.
Sa voix est plus fragile que jamais, son corps fatigué, mais son âme, elle, est toujours là.
Il est difficile de voir une personne qu’on admire tant s’affaiblir, mais c’est aussi une preuve de son courage.
Il continue de chanter, même si ce n’est plus avec la même puissance.
Il nous rappelle que les grands artistes ne s’effacent jamais, même lorsque leur corps les trahit.

Renaud a bercé ma vie de ses chansons.
De 1983 à aujourd’hui, il a été ce compagnon de route, ce poète du quotidien.
Le voir aujourd’hui en difficulté est une épreuve, mais son courage force le respect.
Je pense qu’il aime toujours chanter, qu’il aime toujours son public et peu importe l’état de sa voix, Renaud reste et restera une légende de la chanson française.
Merci pour tout, Renaud.
ZFE : une mesure injuste pour les citoyens
Depuis la mise en place de la zone à faibles émissions (ZFE) en France, de nombreux habitants se retrouvent contraints de modifier leurs habitudes de déplacement, souvent au détriment de leur qualité de vie.
Derrière le souci écologique de cette mesure, une réalité sociale brutale se dessine : des citoyens les plus vulnérables, sont abandonnés à leur sort.
Je prends pour exemple le cas d’un retraité de 70 ans vivant à Vaulx-en-Velin, est impacté par l’interdiction des véhicules Crit’Air 3 dans la Zone à Faibles Émissions de Lyon-Villeurbanne.
Il ne peut plus utiliser sa voiture, pourtant en bon état, pour se rendre 3 fois par semaine chez sa belle-mère de 95 ans, habitant à Lyon.
Il trouve les transports en commun couteux et les dérogations insuffisantes.
Refusant d’acheter un nouveau véhicule pour des raisons politiques et financières, il déplore l’absence d’aides, se sentant abandonné par la Métropole.
Lire la suite ici.

Si la transition écologique est essentielle, elle ne doit pas se faire au détriment des citoyens les plus vulnérables.
L’absence d’aides spécifiques pour les classes populaires, couplée à des alternatives limitées, crée une fracture sociale grandissante.
La ZFE, loin d’être une mesure de progrès, se transforme en une punition pour ceux qui n’ont pas les moyens de suivre le rythme imposé par les décideurs.
De nombreux habitants des métropoles sont piégés entre des obligations irréalistes et une absence totale de soutien de la part de nos dirigeants.
Au lieu de contraindre et d’exclure, pourquoi ne pas mettre en place des solutions plus justes et adaptées, comme des aides financières renforcées, des exemptions…..
L’écologie ne doit pas devenir un outil de discrimination sociale.
Il est temps que les responsables politiques prennent conscience de la détresse de leurs administrés et trouvent des solutions qui concilient respect de l’environnement et justice sociale.
Et vous? Quelle est votre position?
Quizz : Quel(le) Valentin(e) êtes-vous ?
C’est la Saint Valentin aujourd’hui , et c’est l’occasion de tester quel type d’amoureux(se) vous êtes !
Répondez à ce quiz et découvrez votre profil romantique.
1. Pour la Saint-Valentin, vous préférez :
a) Un week-end en gîte, au calme, en amoureux.
b) Un bon repas maison, avec des bougies et une ambiance cosy.
c) Une soirée entre potes, après tout, l’amour, c’est aussi l’amitié !
d) Rien de spécial, c’est une journée comme une autre.
2. Votre vision du cadeau parfait :
a) Une expérience à partager : voyage, spa, escape game…
b) Un cadeau fait main, chargé d’émotion.
c) Un bon resto ou une boîte de chocolats, classique mais efficace.
d) Rien du tout, l’amour ne se prouve pas avec un cadeau !
3. Votre réaction si votre moitié oublie la Saint-Valentin :
a) Ce n’est pas grave, on peut se rattraper un autre jour.
b) Un peu déçu(e), mais tant pis, l’important, c’est l’amour au quotidien.
c) Oublier ? Impossible, j’aurai envoyé des rappels deux semaines avant !
d) Ouf ! Une excuse en moins pour ne pas fêter ça.
4. Une Saint-Valentin idéale, c’est :
a) Une aventure à deux, sans prise de tête.
b) Un moment simple et sincère.
c) Une grande surprise, avec des fleurs et des déclarations.
d) Une soirée télé-pizza, rien de mieux !
5. Vous recevez une carte d’amour anonyme, vous…
a) Menez l’enquête pour savoir qui vous admire en secret.
b) La gardez précieusement, c’est trop mignon !
c) La montrez à tout le monde en plaisantant.
d) La jetez sans même l’ouvrir, vous n’aimez pas les mystères.
Résultats :
Majorité de A : L’aventurier romantique
Vous aimez l’amour en mode découverte et évasion. Un week-end surprise ou un voyage à deux, c’est votre truc !
Majorité de B : Le romantique sincère
Pour vous, pas besoin d’en faire trop : un geste simple mais sincère suffit à faire battre votre cœur.
Majorité de C : L’extraverti passionné
Vous adorez la mise en scène et les grandes déclarations. Pour vous, la Saint-Valentin, c’est une occasion de célébrer l’amour en grand !
Majorité de D : Le pragmatique détendu
Pour vous, l’amour se vit au quotidien, pas besoin d’une fête pour ça. Et si on mangeait une pizza plutôt ?
Alors, quel(le) Valentin(e) êtes-vous ?
