Le maloya à l’honneur dans l’émission de « La-bas si j’y suis » de Daniel Mermet sur France Inter.
C’était le mercredi 14 et jeudi 15 mai, une escale à la Réunion sur des rythmes du maloya.
Le maloya invoque les esprits, berce nos peines.
Dans les années 1950, le maloya est interdit par l’administration coloniale qui voit une montée des indépendantistes.
Il est donc joué de manière clandestine dans des champs de canne à sucre loin des habitations.
Deux mots résument le maloya : résister et exister.
Dans la première partie de l’émission, vous entendrez :
– Maloya Power, du groupe Lindigo
– Ti Paul, par La Troupe Lélé Saint-Benoît
– Valet valet, par Firmin Viry
– Oté Larényon, par Daniel Waro
– 20 Désanm‘, par Lo Rwa Kaf
Dans la deuxième :
– Adekalom, par Danyel Waro
(Pour la p’tite histoire, je me rappelle des frères Adékalom, j’avais 16-17 ans à l’époque.
Je les ai croisé plusieurs fois du côté de l’Etang salé.
Les frères Adékalom avaient été emprisonnés, accusés d’avoir empiété sur les terres de l’ONF pour vivre de l’agriculture).
– Nout lang, par Zanmari Baré
– Mary Salangann, par Zanmari Baré
Pour rappel, le maloya est classé au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO depuis le 1er octobre 2009.
Il fut autorisé qu’à partir de 1981.
Merci à Hiéléna pour l’info.
2 Commentaires
Bonjour et bien je ne vais pas y passer mais un jour surement
je te souhaite une bonne fête PASCAL bisou et bonne journée
Auteur
Merci Françoise.
Bon week end.