Bannière Radiblog

Vieux articles

Ma chanson du dimanche : «Tout ira bien » de Maïa

Sur Radiblog, j’aime partager mes découvertes musicales… et là, j’ai craqué pour Maïa et son titre lumineux « Tout ira bien ».
Ce morceau est un vrai rayon de soleil : un mélange de pop, de funk et d’un petit parfum de bossa nova qui te donne envie de balancer la tête!!
C’est un joli cocktail entre les petites choses qui nous agacent (les faux-semblants, les pressions sociales, les « faut faire ci, faut faire ça »), et ce qui nous redonne le sourire : les moments vrais, le partage, et cette certitude qu’après tout… tout ira bien.
A écouter les yeux fermés quand tout part en vrille.

Bref, une chanson qui donne envie de chanter à tue-tête sous la douche, d’appeler ses potes pour une soirée, et de se rappeler que, peu importe les galères du moment, la vie peut être belle si on choisit de la danser.

Maïa



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Le pique-nique réunionnais : entre tradition et sono

Pique-nique d’hier et d’aujourd’hui

Cet été, nous avons profité d’un pique-nique en famille au Ouaki dans les Hauts de Saint-Louis. On y déplie les nappes, on allume le feu de bois, et les marmites s’installent comme à la maison. Le carry mijote doucement, pendant que les enfants se baignent dans la rivière et que les adultes discutent ou jouent aux dominos.

@ben974_31 Aire de pique nique de la rivière st Étienne #reunionisland #iledelareunion #entredeux #riviere ♬ See – ISHA (이샤)

Mais les temps changent. Comme en métropole, il arrive de voir les pique-niques prendre une toute autre dimension. Ici ou là, une enceinte gronde, puis deux, puis trois. Et parfois, on tombe carrément sur une table de mixage, un DJ, et un groupe électrogène pour alimenter le tout. On n’est plus vraiment dans le pique-nique familial, mais plutôt dans une version “mini-festival” au bord de la rivière.

Certains adorent cette ambiance festive, énergique, bruyante, qui transforme le pique-nique en moment de danse et de fête. Mais pour d’autres, elle rompt avec l’idée première : se poser, profiter du calme, écouter la rivière et le vent, savourer le carry sans qu’il soit couvert par les basses.

Heureusement, il reste encore des coins plus reculés, où la marche ou l’éloignement décourage les installations trop bruyantes. Dans ces endroits, le pique-nique reprend son sens originel : le crépitement du feu de bois, le clapotis de l’eau, le rire des enfants, et ce sentiment précieux d’être en harmonie avec la nature.

Personnellement, je préfère ces lieux très calmes pour pique-niquer. La tranquillité, la beauté du paysage et le rythme lent de la journée sont irremplaçables. Ce plaisir existe partout : en métropole aussi, dans les forêts, bords de lacs ou grands parcs, on trouve encore des endroits où poser sa nappe loin du tumulte, et profiter pleinement du moment.

Et puis, rien ne vaut ce moment simple où l’on savoure son carry en écoutant le murmure de la rivière, en famille ou entre amis, loin du bruit du monde… juste le temps d’une pause, suspendue au cœur de l’été.

ouaki-riviere-saint-louis
@Photo



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Un après-midi en famille à Grand-Îlet -Salazie

Cet été, à 59 ans, j’ai enfin découvert Grand-Îlet, au cœur de Salazie. Oui, 59 ans ! Mieux vaut tard que jamais .

Nous étions en famille, 14 personnes au total, pour une petite escapade dans les hauts de Salazie. Juste un après-midi, après avoir déjeuné chez Alice à Hell-Bourg, nous avons pris la route. Et quelle route ! Sinueuse, entourée de verdure luxuriante, avec des cascades qui surgissent à chaque virage… un vrai spectacle pour les yeux avant même d’arriver au village.

Nous avons atteint le parking, là où les randonneurs laissent leurs voitures avant de partir à pied vers La Nouvelle ou Mafate. Et là, révélation : l’aventure commence déjà, rien qu’en respirant l’air pur et en admirant le village perché. Les maisons créoles colorées semblaient nous faire un clin d’œil.

On a marché un peu autour du parking, pris des photos, admiré les fleurs sauvages.

À 59 ans, entouré de ma famille, ma première fois à Grand-Îlet m’a appris une belle leçon : on n’a pas besoin de gravir toutes les montagnes pour se sentir en haut du monde.

Petit conseil de Radiblog : n’attendez pas l’âge parfait ni la motivation maximale pour vivre vos petites aventures. Grand-Îlet, même version « parking » et « après-midi », reste un vrai coin de paradis, encore plus magique en famille !

grand ilet salazie



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Google Search Console te laisse sur ta faim ? Laisse Screaming Frog fouiller ton site

On a tous connu ce moment : tu lances ton site, tu écris ton super article, tu lances un p’tit check dans Google Search Console … et là, bim!!!!!

  • certaines pages sont indexées,

  • d’autres sont “explorées mais non indexées”,

  • et quelques-unes sont carrément portées disparues.

Mais comment savoir ce qui se passe vraiment dans les coulisses ?
C’est là que débarque… Screaming Frog SEO Spider !

frog, nature, fun, figure, cute, animal, green, frog eyes, lurk


Google Search Console contre Screaming Frog

  • Google Search Console : il te dit ce que Google pense de ton site. Exemple : “Cette page, je l’ai vue, mais bof, pas envie de l’indexer”.

  • Screaming Frog : il te montre ce que ton site propose réellement : toutes les pages, tous les liens, toutes les balises.

En combinant les deux :

  • tu sais ce qui existe

  • tu sais ce qui est pris en compte

  • et tu comprends enfin pourquoi certaines pages font la sieste au lieu d’apparaître dans les résultats.


La version gratuite

Screaming Frog est gratuit jusqu’à 500 URLs.
Pour un blog comme le mien (radiblog.fr ), la version gratuite est suffisante.


Téléchargement facile

Direction le site officiel : Télécharger Screaming Frog SEO Spider



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Cari poulet fumé aux petits pois

C’est un plat qui a bercé mon enfance : ma mère me faisait souvent ce cari, avec son parfum fumé qui envahissait toute la cuisine… 
Aujourd’hui, j’ai converti mes enfants à ce petit trésor culinaire : ils adorent aussi, preuve que certaines recettes voyagent très bien de génération en génération !
Je pense que c’est ma mère qui a inventé cette recette 🙂
Dans la période où j’étais à la Réunion, il n’y a que chez elle que je dégustais ce cari de poulet fumé aux petits pois.

poulet fumé et petits pois


Ingrédients (4 personnes)

  • 1 poulet fumé 

  • 250 g de petits pois (frais ou surgelés)

  • 3 oignons émincés

  • 4 gousses d’ail pilées

  • 3 tomates bien mûres (ou une boîte de pulpe)

  • 1 petit morceau de gingembre râpé

  • 1 branche de thym, 1 feuille 4 épices ou laurier

  • Curcuma, huile, sel, poivre


Préparation

  1. Rince bien le poulet fumé sous l’eau tiède. Ça enlève l’excédent de sel et le gras.

  2. Coloration : coupe le poulet en morceaux, fais-les revenir dans un peu d’huile avec les oignons puis ajoute 2 cc de curcuma.

  3. Ajoute l’ail, le gingembre, le thym,  les tomates, le laurier ou 4 épices. Laisse mijoter pour obtenir une belle sauce.

  4. Couvre d’un verre d’eau, laisse cuire 20-25 min à feu moyen.

  5. Les petits pois : ajoute-les en fin de cuisson (ils cuisent vite). Laisse mijoter encore 5-10 min.

  6. Ajuste l’assaisonnement et c’est prêt !


À servir avec :

  • Du riz bien chaud

  • Un petit rougail tomate ou mangue verte pour la fraîcheur

  • Et une bonne dose de souvenirs d’enfance ❤️

 



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Maperine : mémoire d’un quartier disparu de Sainte-Marie

Maperine, un quartier disparu

Maperine était un quartier de Sainte-Marie, petit mais vivant, où se mêlaient vie de famille, échanges de voisinage et souvenirs partagés. Ses maisons modestes, ses jardins et ses ruelles étroites formaient un lieu où chacun connaissait son voisin, et où l’entraide était naturelle.

La première fois que j’ai entendu parler de ce quartier, c’était en 1985. Un Réunionnais me racontait sa vie dans Maperine, ses journées simples mais pleines de chaleur humaine. Ces paroles m’étaient restées en tête, et plus tard, je me suis intéressé un peu plus à ce quartier. La chanson du groupe Maperine sur Maperine m’a rappelé le souvenir de ce jeune homme qui avait grandi là, dans ce petit quartier de Sainte-Marie.

En 1993, Maperine a été entièrement démoli pour permettre l’agrandissement de la piste de l’aéroport Roland Garros. Les habitants ont dû quitter leurs maisons, emportant avec eux des souvenirs et des liens profondément ancrés. Ce qui était un espace de vie et de mémoire s’est transformé en terrain d’infrastructures, et Maperine a disparu de la carte, laissant un vide tangible dans l’histoire de Sainte-Marie.

Aujourd’hui, il ne reste que la mémoire des anciens résidents et quelques témoignages pour raconter ce qu’était ce quartier. Maperine vit encore dans ces souvenirs, comme un rappel de l’impact des transformations urbaines sur la vie des communautés.



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

20 petites habitudes qui changent la vie (et qu’on néglige toujours)

On rêve tous de grands bouleversements :

  • gagner au loto,
  • maigrir en mangeant du chocolat,
  • ou trouver un bouton « pause » pour le lundi matin.

Mais en vrai, ce sont les petites habitudes toutes simples qui font la différence.

J’ai reçu ces recommandations par mail, je les ai trouvées assez justes (et plutôt rigolotes), alors je vous les partage ici.

Voici 20 gestes faciles, parfois bêtes, mais efficaces.

1. Dire bonjour franchement

Pas un « bonjouuur » mou de lundi matin. Un vrai bonjour, avec un sourire, qui réveille presque plus qu’un café.

2. Ranger 2 minutes par jour

Juste poser la chaussette orpheline dans le panier à linge au lieu de la contempler trois semaines.

3. Boire un grand verre d’eau au réveil

Ton corps dira merci.

4. Marcher un peu plus

Un arrêt de bus avant, une volée d’escaliers de plus… Ça muscle, ça oxygène, et ça compense (un peu) les chocolats.

5. Dire merci vraiment

Avec les yeux, pas juste avec la bouche. Bonus : ça fait sourire l’autre.

6. Éteindre les écrans 30 min avant de dormir

Ton cerveau ne veut pas scroller jusqu’à 2h du matin. Il préfère rêver de vacances à La Réunion.

7. Écouter sans couper la parole

Ça change tout. (Même si tu brûles d’envie de raconter ton anecdote sur la même chose, en mieux).

8. Respirer profondément

Trois grandes inspirations. Pas pour gonfler les poumons comme un ballon.

9. S’étirer le matin

Un petit yoga de salon. Pas besoin de posture acrobatique, juste lever les bras.

10. Faire un compliment sincère

Pas « t’as bonne mine » alors que la personne ressemble à un zombie. Non, un vrai compliment.

11. Tenir la porte à quelqu’un

Simple, vieux comme le monde, mais ça fait toujours plaisir. (Et parfois on gagne un sourire en prime).

12. Écrire ses 3 kiffs du jour

Une bonne bouffe, un fou rire, un rayon de soleil. Ça muscle la gratitude.

13. Manger lentement

Oui, même si ton sandwich te regarde avec des yeux de bœuf affamé.

14. Mettre une alarme pour sourire

À 11h17 ou 15h43, peu importe. Mais un sourire forcé finit souvent par être vrai.

15. Appeler quelqu’un « juste comme ça »

Pas pour demander un service, pas pour se plaindre. Juste pour dire coucou.

16. Éviter de râler 5 minutes

Chronomètre en main : tu tiens ? (Indice : c’est plus dur qu’un marathon).

17. Bouger un peu toutes les heures

Se lever, s’étirer, aller chercher un verre d’eau. Non, ouvrir le frigo toutes les heures ne compte pas.

18. Dire « non » sans culpabiliser

Un vrai « non », pas un « oui mais » ou un « on verra ». Ça libère !

19. Chanter sous la douche

Personne ne juge. Même pas les carreaux de faïence.

20. Se coucher 15 minutes plus tôt

C’est rien… mais ça change tout. (Surtout quand le réveil sonne).


Voilà, 20 petites habitudes bêtes comme chou, mais qui font du bien.
Pas besoin de bouleverser sa vie : il suffit d’un bonjour, d’un sourire et d’un verre d’eau.

Conclusion

Voilà, vous avez maintenant 20 petites habitudes sous la main. Pas besoin de transformer votre vie du jour au lendemain : piochez-en deux ou trois, testez-les dès demain, et observez la magie opérer.

Petit secret : les grandes révolutions commencent toujours par un petit geste… même si c’est juste dire bonjour avec un vrai sourire.
Et si vous glissez un verre d’eau et un étirement matinal dans le lot… bingo, vous avez presque gagné au loto du bien-être !

Alors, prêt·e à tenter l’expérience ? Allez, on se dit bonjour demain matin… franchement cette fois-ci !



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Partir n’est pas disparaître… et l’amour ne meurt jamais

Vous n’êtes pas sans savoir que je suis parti en vacances à La Réunion cet été. Ce voyage m’a offert de beaux paysages, des souvenirs lumineux… mais aussi un moment de réflexion sur ceux qui nous quittent. Inutile de vous dire que certaines personnes sont déjà parties depuis ma dernière visite en 2022, et que trois membres de ma famille sont aujourd’hui très âgés et malades.

Dans ces instants de nostalgie et de peine, ces poèmes envoyés par Françoise en septembre 2016, m’ont profondément aidé. Ils rappellent que la mort n’efface ni l’amour, ni les liens tissés au fil du temps. Elle transforme simplement la présence visible en une présence subtile, toujours vivante dans nos cœurs et nos souvenirs.

La suite de cet article partage cette vision : la mort comme un passage, la mémoire comme un fil qui ne se rompt jamais, et l’amour qui continue de circuler, doux et lumineux, même lorsque ceux que nous aimons semblent loin de nous.


La mort… ce mot qui fait frissonner et retenir le souffle. Et pourtant, si l’on écoute bien, elle n’est jamais vraiment une fin.

Saint Augustin disait :
« Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté… le fil n’est pas coupé. »

Quand quelqu’un que l’on aime disparaît, il n’emporte pas nos souvenirs ni notre tendresse. Il continue de vivre dans nos rires, dans nos paroles, dans tout ce que nous partagions.

Benoît Marchon nous invite à regarder autrement :
« Quelqu’un meurt, et c’est comme une graine germant dans une terre nouvelle… »

Chaque départ peut devenir un commencement. La fin d’une vie n’est qu’un changement de décor, un voyage vers d’autres paysages, peut-être invisibles à nos yeux, mais tangibles dans le cœur et l’âme.

Et la sagesse hawaïenne nous dit :
« Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller… Pleurez-moi quelques temps, et ensuite laissez votre peine se transformer en joie. »

La séparation n’est qu’un instant. L’amour reste intact, il circule autour de nous, doux et lumineux. Quand le moment viendra pour nous de franchir ce passage, il y aura un sourire, une accolade, un accueil qui nous dira : « bienvenue chez nous. »

Ces trois visions se rejoignent. Elles nous enseignent que la mort ne fait que changer la forme de l’amour. Elle transforme les étreintes en souvenirs, les mots en murmures, et les regards en éclats lumineux dans nos mémoires. Elle nous invite à vivre pleinement chaque instant, à chérir ceux qui sont là, et à garder la foi.

Alors, quand quelqu’un s’en va, ne fermez pas la porte de votre cœur. Écoutez le fil qui continue de vibrer. Car tout est bien. Tout est toujours bien.

still life, bunch of flowers, mallow pink, a book, hafiz, poems, read, relaxation, poem book, persian, romance, decoration, glass vase, hafiz, hafiz, poems, poems, poems, glass vase, glass vase, glass vase, glass vase, glass vase


Les poèmes originaux

Saint Augustin

L’amour ne disparaît jamais… la mort n’est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.
Je suis moi et vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
Ne changez rien au ton,
Ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de votre pensée, simplement parce que je suis hors de votre vue?
Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.

Benoît Marchon

Quelqu’un meurt,
Et c’est comme des pas Qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ Pour un nouveau voyage…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme une porte Qui claque.
Mais si c’était un passage S’ouvrant sur d’autres paysages…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme un arbre Qui tombe,
Mais si c’était une graine Germant dans une terre nouvelle…
Quelqu’un meurt,
Et c’est comme un silence Qui hurle.
Mais s’il nous aidait à entendre La fragile musique de la vie…

Poème hawaïen

Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller
Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire.
Ma route ne s’arrête pas ici.
Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes.
Soyez heureux de toutes les années passées ensemble.
Je vous ai donné mon amour,
Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté.
Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné
Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route.
Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut.
Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie
Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons
Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur.
Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit
Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher.
Je serai près de vous.
Et si vous écoutez avec votre cœur,
Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté.
Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici,
Je vous accueillerai avec le sourire
Et je vous dirai: « bienvenue chez nous ».



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

« Mon l’identité » de Séverine Barege : deuxième coup de cœur sur Radiblog !

Il y a des artistes qui passent une fois sur le blog et puis hop, on ne les revoit plus. Et puis il y a ceux qu’on retrouve avec plaisir… parce que leur univers fait écho, parce que leur voix touche, parce que leur message résonne, surtout quand on me parle de l’identité& r&réunionnaise!

C’est le cas de Séverine Barege. Eh oui, c’est déjà la deuxième fois que je publie un article sur elle ! On dirait bien qu’elle s’installe tranquillement dans ma playlist personnelle.

Son dernier clip « Mon l’identité » est une vraie pépite. Rien que le titre, déjà, en dit long : il y a de la fierté, de la force, de la culture réunionnaise assumée. Et quand on écoute la chanson, on sent que Séverine chante avec le cœur, avec l’âme même. Ça groove, ça respire l’authenticité et ça donne envie de chanter avec elle.

Le clip, quant à lui, met en valeur son charisme et son élégance. Pas de chichis, pas de fioritures inutiles : juste Séverine, sa voix et ce message puissant qui rappelle que l’identité, ça se vit, ça se transmet et ça se célèbre.

Barege Severine

Alors oui, je le redis haut et fort : « Mon l’identité » est une chanson géniale. Et quelque chose me dit que ce n’est pas la dernière fois que je vous parlerai de Séverine Barege sur Radiblog…

Le Facebook de Séverine ; https://www.facebook.com/severineolivier.brique



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Le 10 septembre, je ne dépense rien… et je soutiens #BloquonsTout !

Le 10 septembre, ça va bouger. Entre les grèves, les manifestations et les blocages, beaucoup descendront dans la rue pour faire entendre leur voix. Moi, je participerai aussi… mais à ma façon. Pas de pancarte, pas de banderole, pas de slogans criés dans le froid. Mon arme sera toute simple : je ne dépenserai pas un centime.

Pas un euro, pas un centime

Ce jour-là, je ne ferai aucun achat : ni avec ma carte bleue, ni en espèces, ni par chèque, ni même sur Internet.

Pourquoi #BloquonsTout ?

#BloquonsTout, ce n’est pas juste un slogan. C’est un appel collectif : dire non à la surconsommation, montrer que nous ne sommes pas des machines à payer et rappeler que la planète n’est pas un distributeur automatique de bonheur.

Et puis, ces 40 milliards qu’on nous agite sous le nez, qu’ils les trouvent ailleurs ! Pas question de toucher à nos jours fériés. Parce que oui, un jour férié, c’est sacré : c’est la pause, la respiration, le petit luxe de vivre un peu pour soi.

bloquons tout

Chacun son mode d’action

Certains feront grève, d’autres bloqueront, d’autres manifesteront dans la rue. Moi, ma manière de manifester sera silencieuse, mais pas moins forte : bloquer ma consommation. Parce que l’économie se nourrit de nos dépenses, et un jour sans nous, ça fait réfléchir.

Un petit exercice de liberté

Le 10 septembre, imaginez la scène : caisses silencieuses dans les supermarchés, sites de e-commerce qui clignotent dans le vide, et nous, citoyens, qui profitons d’un café fait maison, d’une balade, d’un bon livre. Une rébellion douce, pacifique, mais symboliquement puissante.

Conclusion

Alors oui, il y aura des grèves, des manifestations, des blocages. Mais moi, je participerai à ma façon : en disant non à la surconsommation, en gardant mes jours fériés, et en rappelant que la vie n’est pas une caisse enregistreuse.



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

1994 : Quand Firmin Viry et sa famille faisaient vibrer le maloya

Ah, le maloya… ce rythme qui frappe comme le cœur d’une île, chaud, profond et indomptable. Et parmi ses passeurs historiques, il y a Firmin Viry, celui qui a su garder les traditions vivantes, dans le respect des ancêtres et la joie de danser.

En 1994, Firmin Viry était au sommet de sa force, entouré de sa famille et de proches :

  • Firmin Viry

  • Maxime Laope
  • Simon Lagarrigue 

  • Henri Lagarrigue

  • Alain Lagarrigue

  • Christiane Lagarrigue

  • Daisy Viry

  • Mylène Viry

  • Jacky Viry

  • Annie-Claude Viry

  • Pascaline Viry

  • Jean-Guibert Viry

Moi, je suis un Yab, et chaque fois que j’écoute cette musique, je frissonne. C’est plus qu’un rythme : c’est un choc émotionnel, un rappel que la Réunion vit dans chaque note, chaque battement, chaque souffle.

Chaque percussion, chaque chant, est un fil qui relie les générations. Le maloya n’est pas juste de la musique : c’est un patrimoine, une mémoire, une célébration de l’identité réunionnaise.

Alors, si vous avez cinq minutes devant vous, cliquez sur la vidéo et laissez-vous emporter par ces vibrations. Écoutez le roulèr, tapez du pied, ressentez le kayamb. Fermez les yeux, et vous entendrez l’île elle-même chanter avec eux.

Parce que le maloya, avec Firmin Viry et sa troupe, ce n’est jamais seulement de la musique… c’est la Réunion qui parle, qui rit, qui pleure, et qui danse.



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Carybefit à l’assaut de Cilaos : deux épisodes, deux aventures, mille émotions

Connaissez-vous Julien Grondin, alias Carybefit ?
Je vais vous le présenter ! Ce passionné de vélo et de gastronomie réunionnaise ne se contente pas de pédaler : il nous emmène dans ses aventures, les yeux grands ouverts, le sourire aux lèvres et la caméra toujours prête.

Ah Cilaos… Ses 400 virages, ses remparts vertigineux, ses lentilles qui régalent les papilles… et maintenant ses vidéos à vélo !
Notre ami Julien s’est lancé dans une double aventure filmée : monter à Cilaos en vélo électrique, puis pousser jusqu’à Îlet à Cordes.

circus, cilaos, meeting, sky, landscape, nature, roche, mountain, cilaos, cilaos, cilaos, cilaos, cilaos


Épisode 1 – Monter à Cilaos : 40 km, 400 virages

Imaginez : départ du front de mer de Saint-Pierre. Soleil, vent marin… et puis soudain, la route des 400 virages.
Julien pédale, caméra au guidon, et nous embarque dans les montagnes.

  • Les paysages ? Juste époustouflants : falaises, ravines, cascades, le tout version grand écran.

  • L’effort ? Bien réel. Même avec un vélo électrique, les montées font transpirer (et pas qu’un peu).

  • Les rencontres ? Toujours chaleureuses. Sur la route, les réunionnais savent encourager, sourire et partager un mot gentil.

Arrivé à Cilaos, c’est la délivrance : un mélange de fatigue, de fierté et d’émotion. Et franchement, ça donne envie de dire : « chapeau l’artiste ».


Épisode 2 – Îlet à Cordes : l’authenticité au bout du chemin

Le lendemain, pas de repos pour les braves. Direction Îlet à Cordes, ce hameau mythique accessible par une route en balcon.
Julien y découvre :

  • Des routes vertigineuses et panoramiques, suspendues entre ciel et ravines.

  • Des habitants souriants et accueillants, toujours prêts à échanger quelques mots.

  • Et bien sûr… la lentille de Cilaos.


Conclusion : Cilaos, ça se mérite !

Qu’on y monte en voiture, à pied ou à vélo, Cilaos reste une aventure unique.
Julien nous le rappelle : derrière les virages et les montées, il y a toujours une récompense — un paysage qui coupe le souffle, une rencontre qui réchauffe, ou une assiette qui rassasie.

Alors merci à lui pour ce road-movie réunionnais en deux épisodes. Et comme il dit si bien : Bisoutes !

Vous pouvez le suivre via :
Youtube
Instagram
Tiktok
Facebook

Mon duo du dimanche :  « Diego, libre dans sa tête » par Jean-Louis Aubert & Santa

Ce dimanche, mon cœur a choisi son duo : Jean-Louis Aubert et Santa, réunis sur « Diego, libre dans sa tête ».
Une interprétation sobre, sans artifices, où la voix éraillée d’Aubert se mêle à la puissance de Santa. Ensemble, ils font résonner ce cri de liberté écrit par Michel Berger ! C’était en 2014, en live dans Taratata, mais pour moi, c’est mon duo de ce dimanche.



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Octobre Rose : un mois pour rappeler l’importance du dépistage du cancer du sein

Chaque année, le mois d’octobre se pare de rose. Derrière les rubans, les illuminations et les campagnes de communication, se cache un message essentiel : le dépistage précoce sauve des vies.

Pourquoi Octobre Rose ?

Octobre Rose est une campagne internationale de sensibilisation au cancer du sein, le cancer le plus fréquent chez la femme. En France, plus de 60 000 nouveaux cas sont détectés chaque année. Détecté tôt, il peut être pris en charge efficacement, avec des traitements moins lourds et de meilleures chances de guérison.

L’importance du dépistage

  • Le dépistage est recommandé tous les deux ans entre 50 et 74 ans, dans le cadre du programme national.

  • Il repose sur une mammographie, un examen simple et rapide, pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie dans ce cadre.

  • Pour les femmes à risque élevé (antécédents familiaux, génétiques), un suivi spécifique peut être proposé plus tôt.

Le dépistage permet souvent de découvrir une anomalie avant même l’apparition de symptômes. Plus le cancer est repéré tôt, plus les traitements sont efficaces et moins invasifs.

Quand Octobre frappe à la porte

Il y a quelques années, une amie a eu un cancer du sein.
Pour m’en parler, elle m’a simplement dit cette phrase que je n’oublierai jamais :

« Octobre rose s’est invité chez moi. »

C’était sa façon douce et pudique d’annoncer cette nouvelle bouleversante.
Heureusement, son cancer a été dépisté tôt. Aujourd’hui, elle va bien.
Et chaque mois d’octobre, quand les villes se parent de rose, je pense à elle… et à toutes celles qui se battent, avec courage et dignité.

Quand la sensibilisation passe par les réseaux sociaux

En 2025, les messages ne se limitent plus aux affiches et aux spots télévisés. Les créateurs de contenu, comme Monsieur Alex sur TikTok, participent eux aussi à la campagne en relayant des vidéos de sensibilisation.
Pour ma part, Monsieur Alex est l’un des seuls comptes que je suis sur ce réseau, et j’apprécie beaucoup son travail. Ses vidéos percutantes, accessibles et bien construites permettent de toucher un large public, notamment les plus jeunes, pour rappeler que parler du dépistage ne doit pas être un tabou.

@monsieuralexoffAujourd’hui, c’est le premier jour d’Octobre Rose. Pour l’occasion, je partage à nouveau le court-métrage AIDANT, qui retrace l’histoire de ma mère et de tant d’autres femmes. ♬ son original – Monsieur Alex

monsieur alex

Un message pour toutes et tous

Le cancer du sein ne concerne pas uniquement les femmes de 50 à 74 ans. Les proches, la famille, les amis ont aussi un rôle important à jouer en encourageant la discussion et la vigilance.
Et rappelons-le : même si cela reste rare, les hommes peuvent eux aussi être touchés.

En conclusion

Octobre Rose n’est pas seulement une couleur, c’est un appel à l’action. Se faire dépister, en parler autour de soi, soutenir les associations : chaque geste compte.
Parce qu’au-delà des rubans, des vidéos et des slogans, il s’agit avant tout de sauver des vies.

.A Laurence, Yasmine, Muriel et les autres………



(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Ma chanson du dimanche : « Pourquoi tu restes » d’Amel Bent

Amel Bent – Pourquoi tu restes : un couple qui s’éteint, des doutes plein la tête… et toi tu te dis : « Si l’amour est mort, pourquoi tu restes ? » Piano simple, voix qui te serre le cœur, et un clip qui finit par un petit sourire. Triste, mais beau.




(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});