Le blog de Radiblog

Nov 02 2014

Ma chanson du dimanche : « Fais moi l’amour, pas la guerre » de Francis Lalanne.

C’était en 1985 que je l’avais vu interprété cette chanson sur scène.
J’étais encore sous les drapeaux.
Juin 85 exactement.
J’étais en perm dans une ville de la banlieue parisienne.
Je ne connaissais de lui que cette chanson à l’époque.
Lalanne-Francis-Fais-moi-l-amour-pas-la-guerre

Le mal qu’on se dit
L’amour maladie
Les grains de frimas
Que l’on sème
Les portes qui claquent
Les « j’en ai ma claque »
C’est du cinéma quand on s’aime

Fais-moi l’amour
Fais-moi l’amour
Fais-moi l’amour, pas la guerre

Haute tension
Danger
Tu as dénudé
Les fils qui nous lient
Corps et âme
Si tu continues
A les mettre à nu
Je creuserai mon lit
Dans les flammes

Fais moi envie
De rester en vie
Au fond de mon coeur
Que tu blesses
Tu fais tout pour m’étouffer
J’veux être aimé pas bouffé
Mais tu sais par cœur
Mes faiblesses
Maintenant j’en ai assez
Dis rien, je sais que tu sais
Si l’un d’entre nous rompait
L’autre crève
Raccroche, on nous a coupé
Rappeler svp
Pour parler de paix
Ou de trêve……..

De voir et d’entendre tous les jeunes reprendre en chœur cette chanson fut mémorable.
Bon dimanche !!!! Peace & Love 🙂

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Nov 01 2014

Trois masques d’ Halloween réussis.

masques-halloween

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Oct 31 2014

Renaud, l’acteur.

Vous n’êtes pas sans savoir que les chansons de Renaud ont bercé mon adolescence.
Malheureusement, pour lui c’est pas trop le top en ce moment. J’espère qu’il n’est pas trop mal 🙁

Il y a pile 21 ans, j’ai vu Germinal.
C’était un dimanche.
Le dimanche 31 octobre 1993.
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Entretemps, j’ai lu le livre de Zola et revu le film trois fois.
Renaud disait à l’époque :

Pendant des années, on m’a proposé des rôles, mais rien qui m’ait donné envie de lâcher la proie pour l’ombre et de renoncer à la chanson (…) Et un jour, Germinal. Alors là, Germinal, tu peux pas refuser. Parce que c’était Berri, c’était Zola, la mine et parce que c’était Lantier….Mais c’est aussi et surtout une manière de rendre hommage à mon grand-père mineur.

J’ai dit «oui» mais j’ai eu peur sans cesse. Je m’identifiais entièrement à cet Etienne Lantier mais je ne me sentais pas les qualités nécessaires pour exprimer ses sentiments devant une caméra. Sur le tournage, j’étais terrorisé. Berri était très autoritaire, et je le comprends, vu l’ampleur de son projet. L’ambiance était parfois tendue et moi, pas très à l’aise pour jouer sereinement la comédie.

J’ai été abominable. J’avais beaucoup souffert d’avoir été sur-dirigé. J’avais eu l’impression de n’être qu’un pantin. J’ai été un peu excessif………

Source

Le tournage de Germinal : Renaud par radiblog

germinal-renaud-affiche