RSA : sanctions, précarité et injustice

“La citation du jour : Ma mère a toujours privilégié la qualité à la quantité. La preuve, je suis fils unique.”

Depuis le 1er janvier, les bénéficiaires du RSA doivent obligatoirement effectuer 15 heures d’activité par semaine, sous peine de sanctions. Une mesure qui, au lieu d’aider, complique encore plus la vie des personnes en difficulté.

Avec 636 euros par mois, on ne vit pas, on survit.
Et pourtant, l’État préfère imposer des obligations floues et des sanctions sévères, parfois même sans que l’allocataire comprenne pourquoi.
Certains perdent leur RSA juste parce qu’ils ont manqué un rendez-vous qu’ils n’avaient même pas reçu !

Cette politique ne fait qu’aggraver la pauvreté et l’exclusion.
Sans ressources, comment payer son loyer, se soigner, ou simplement manger ?
Plutôt que de punir, il serait plus efficace d’accompagner réellement les bénéficiaires, leur proposer des formations adaptées et des solutions pour retrouver un emploi sans les pénaliser.

La pauvreté ne se combat pas avec des sanctions, mais avec de la solidarité et du bon sens.
Pétition à signer ici : https://www.atd-quartmonde.fr/petitions/petition-non-aux-sanctions-sur-le-rsa/?fbclid=IwY2xjawJUmLpleHRuA2FlbQIxMQABHVNwaSDeYfuI9aqm4kEGKFoqU_u9nm_4C2gf0szA8-mT2nVl7EgVrrg6tA_aem_atQQrvPISjfEjw6p8BRfuQ


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