Florilège d’histoires de blondes!!!!!


Comment draguent les jeunes d’aujourd’hui!!

Voici une petite sélection de quelques phrases de drague (souvent lourdingues, même agressives), que les jeunes disent pour engager une conversation avec une fille.
 
shnek-2
 
-« Hé mademoiselle t’es mon soleil, quand je te vois je bronze. »
 
-« Hey Mademoiselle, j’peux t’appeler Biscuit ?  Parce que t’es à croquer ! »
 
-« Toi on aurait dû te lancer sur le Kosovo lors de la guerre, t’es une vraie bombe, t’aurais fait des dégats ! »
 
-« Hé Mamoiselle, t’veux pas me pincer pasque quand j’te vois, j’ai l’impression de rêver. »
 
-« Bonjour, est-ce que tu pourrais m’indiquer le chemin ? Pour atteindre ton cœur. »
 
-« Hey mademoiselle vous êtes tellement belle, je fais de l’alpinisme dans ma tête. »
 
-« Hey salut ! Mais attends ? Ton père tenait pas une usine de cracottes ? Parce que t’es trop craquante ! »
 
-« Salut, je m’appelle prince… et je suis charmant ! Il parait que tu me cherche ? »
 
Shnek
J’ai choisi quelques extraits un peu rigolotes, mais sur le blog y en a des gratinés quand même.
Ces tentatives de « séduction en milieu urbain » sont partagées sur le blog «Paye ta shnek »
 

Les enfants de la Creuse.

De 1963 à 1982, 1 630 enfants réunionnais « orphelins » furent déplacés par les autorités françaises dans le but de repeupler les départements français victimes de l’exode rural comme la Creuse, le Tarn ou le Gers.
Ce déplacement d’enfants fut organisé sous l’autorité de Michel Debré, député de La Réunion à l’époque.
Cet épisode de l’histoire française, très connu à La Réunion, qui a donné lieu à de nombreuses études écrites ou filmées, est communément appelé l’affaire des « Enfants de la Creuse » ou des « Réunionnais de la Creuse ».
Ci dessous, l’histoire de Marie-Thérèse Gasp, une des « Enfants de La Creuse ».


Marie-Thérèse Gasp dans les locaux de Rue89, le 30 mars 2012 (Marie Kostrz)

Marie Thérèse, originaire de l’île de la Réunion, a toujours cru qu’elle avait été abandonnée par sa mère naturelle.
Adoptée à l’âge de 3 ans, elle a vécu une enfance heureuse en métropole. Jusqu’au jour où elle a découvert que sa mère naturelle était toujours en vie et qu’elle n’avait jamais souhaité l’abandonner.
Marie Thérèse aurait été enlevée à sa famille suite aux dérives d’un programme gouvernemental, mis en place dans les années 60 pour repeupler la campagne française avec des enfants défavorisés venus des îles. Et elle ne serait pas la seule.
Alors elle se bat aujourd’hui aux côtés d’autres orphelins de la Réunion pour tenter de comprendre ce qui leur est arrivé et dénoncer ce qu’ils appellent un scandale d’Etat.

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