Ile de la Réunion – Vacances #8 – Le Grand Etang de Saint Benoît.

Je n’y avais jamais été au Grand Etang de Saint Benoît.
Cette année j’en ai eu l’occasion.
Nous étions partis à quatre.
Nous devions simplement pique-niquer. Il faisait beau, alors on s’est dit :
– « Et si on faisait le tour »? Alors nous avons fait le tour 🙂 .
Mais à mi parcours, il y avait un peu de la gadoue à cause des dernières pluies tombées quelques jours auparavant.
Je n’étais donc pas équipé en conséquence, ce qui explique la dernière photo 🙂
On avait mis un peu plus de 2h00!!!!
On avait bien rigolé ce jour là.
Ce qui est bien sûr l’essentiel!!!!

Grand-Etang-St-Benoit-Reunion

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Allez, je vous raconte la p’tite anecdote.
Nous faisions donc le tour du Grand Etang. Il y avait aussi pas mal d’enfants de centres aérés accompagné d’adultes. Mes trois amis étaient devant moi. Un p’tit garçon, d’une huitaine d’années environ, presse son pas pour parvenir à ma hauteur. Une fois arrivé à côté de moi :

– Monsieur, monsieur!!! Ça doit être dur quand même?
– De quoi?
– De marcher avec un gros ventre comme le votre!!!
Je ne réponds pas, je hausse simplement les épaules.
– Si, je suis sûr que ça doit être dur!!!!!!!!

Je n’ai pas eu le temps de lui répondre une connerie, il s’était fait rappeler par ses accompagnateurs. Ouf 🙂
Vie de merde

Ma chanson du dimanche : « Dans la salle du bar tabac de la rue des martyrs » de Pigalle.

C’est une chanson sortie dans les années 90 que j’aime beaucoup.
Le chanteur s’appelle François Hadji-Lazaro. Il faisait aussi partie du groupe « Les garçons bouchers ».

En 1990, j’avais ( y en a qui vont faire le calcul 🙂 ) 24 ans, et ça m’arrivait quelquefois de trainer dans des endroits pas trop fréquentables.
Quand j’entends cette chanson, je me dis que certaines personnes ont dû y laisser quelques plumes, dans des bagarres, l’alcool,  la drogue……..




 
 
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des filles de nuit qu’attendent le jour en vendant du plaisir
Y a des ivrognes qui s’épanchent au bar
Qui glissent lentement le long du comptoir par terre

François-Hadji-Lazaro
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs

Le patron a un flingue pour l’ingénu qu’en voudrait à la tirelire
Dans les chiottes les mots gravés sur les murs
Parlent de sexes géants d’amour et d’ordures ensemble

Ici chacun douc’ment oublie l’ombre d’une vie passée d’une femme de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l’oubli d’un parfum d’une voix
On éteint l’impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
 
 
 
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Certains soirs tout à coup dans un coin on s’arrête de rire
Et quand brusquement les lames sortent tout l’monde dégage
Se jette sur la porte en verre

Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des seringues vidées goulûment dans des bras sans av’nir
Ici la dope c’est à la poignée
Les p’tites cuillères servent que rar’ment pour le café

Ici chacun douc’ment oublie l’ombre d’une vie passée d’une femme de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l’oubli d’un parfum d’une voix
On éteint l’impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces

Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des vieux gars tatoués partout qui racontent leurs souvenirs
Y a des voyageurs tristes pardessus et valises
Y a des bookmakers qui ramassent les mises la nuit

Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
On peut tout ach’ter tout vendre le meilleur et le pire
Une vieille clocharde la gueule défoncée
S’ramène avec sa poussette et se met à gueuler à boire

Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs …
 

Paris!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ma dernière visite à Paris date de l’année dernière, en juillet 2013.
Pourtant,  je suis seulement à une vingtaine de minutes de la capitale.
Il y a quelques années, j’ y allais me balader assez souvent.
Maintenant, il me faut vraiment une obligation pour y aller.

Juillet et août 2015, des membres de ma  famille  viendront visiter la capitale, dont deux qui ne sont  jamais venus en métropole.
Ça sera donc pour moi, une occasion et une non obligation 🙂 de découvrir ou de redécouvrir avec eux certains coins de Paris.
Ma petite nièce sera du voyage, et elle m’a fait jurer cet été, de l’emmener au Louvre. C’est son rêve.

Je lui ai envoyé les quatre vidéos ci dessous, pour lui donner un aperçu de ce qu’elle allait voir.
Elle a été enthousiaste et depuis compte les jours 🙂

Les vidéos sont l’œuvre de  Mayeul Akpovi .
Il est béninois et passionné de photographie.
Il s’est spécialisé dans la technique du time-lapse et de l’hyperlapse.

A voir sans plus attendre et en grand écran.
Magnifique!!!!!!





 
Et vous, vous venez souvent visiter Paris?